signé le 6 mai par l’Unifed (Union des fédérations et syndicats nationaux d’employeurs sans but lucratif du secteur sanitaire, médico-social et social), la CFDT Santé-sociaux, la CFTC Santé-sociaux et la CFE-CGC Santé-social (voir ASH n° 2860 du 16-05-14, page 14) a fait l’objet d’une opposition majoritaire par les fédérations CGT, FO et SUD. L’accord est donc réputé non écrit. « En faisant opposition, ces trois organisations syndicales rayent d’un trait de plume deux ans de travail sur le sujet », s’insurge la CFDT Santé-sociaux. Pourtant, regrette-t-elle, « les résultats des régimes de prévoyance dans le rouge montrent l’urgence à mettre la prévention des risques en tête de pont ». La CGT, FO et SUD estimaient que le texte, qui visait à proposer un cadre et une méthodologie pour améliorer la qualité de vie au travail et prévenir les risques professionnels, était trop timide et négligeait la question des négociations sur la pénibilité.
Côté terrain
En bref – L’accord de branche sur la santé et la qualité de vie au travail
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