Le risque est réel mais, jusqu’à présent, je n’ai pas eu de réaction massivement négative en ce sens. Par ailleurs, analyser un concept ne signifie pas en promouvoir la validité normative. Si j’évalue celui de génocide, cela ne veut pas dire que je l’approuve. En outre, je ne réhabilite en aucun cas le concept de race tel qu’il a été mobilisé à partir du XVIe siècle comme catégorie biologique désignant des groupes humains supposés être biologiquement différenciables. J’avance en revanche l’idée selon laquelle le concept de race est utile en sciences sociales pour décrire un certain nombre de réalités socia
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