Saluant le dispositif des Ad’AP (agendas d’accessibilité programmée), qui doit permettre aux établissements de se mettre aux normes d’ici trois à neuf ans, l’Anpihm (Association nationale pour l’intégration des personnes handicapées moteurs) demande que les moyens financiers suivent. Les commissions départementales d’accessibilité doivent, selon elle, avoir les moyens d’effectuer leurs missions de suivi et de contrôle des engagements pris par les propriétaires publics ou privés. Elle déplore, par ailleurs, qu’aucune sanction ne soit prévue lorsqu’un établissement ne dépose pas d’Ad’AP, ainsi que « la faiblesse de l’amende encourue en cas d’irrespect de la première tranche de travaux ».
Côté terrain
En bref – Accessibilité
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