c’est de toutes façons changer de repères, de vie, d’aire culturelle. Parfois cela se passe bien, parfois moins – surtout quand on n’a pas choisi de partir, que l’on se sent rejeté là où on arrive, que l’on s’enferme dans un groupe identitaire pour ne pas rester seul ou que l’on ne comprend rien à la culture du pays d’accueil. Parfois aussi, on est obligé de se cacher pour survivre. Ce sont toutes ces problématiques qu’aborde VST, la revue du champ social et de la santé mentale. Un article est notamment consacré au travail éducatif mené auprès des mineurs étrangers isolés.
« Migration : le choc de l’arrivée » – N° 120 – Ed.érès – 16 €.