« Malgré de remarquables réussites locales, la politique d’éducation prioritaire n’a jusque-là pas réussi à atteindre l’objectif qui lui avait été assigné : la réduction des inégalités de réussite scolaire [1]. » Partant de ce constat, le ministre de l’Education nationale, Vincent Peillon, et la ministre déléguée à la réussite éducative, George Pau-Langevin, ont présenté le 15 janvier en conseil des ministres, puis le 16 à la presse, les grands axes de leur réforme de l’éducation prioritaire. Selon Vincent Peillon, le périmètre du dispositif, tel que nous le connaissons, va demeurer. Les zones d’éducation prioritaire (ZEP) prendront juste le nom de réseaux d’éducation prioritaire (REP). Quant aux zones les plus difficiles, les actuels réseaux « ECLAIR », elles laisseront place à environ 350 REP+ qui bénéficieron
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