La direction de la CGT a finalement décidé, le 7 janvier, que l’organisation syndicale ne signerait pas l’accord national interprofessionnel sur la formation professionnelle du 14 décembre dernier (voir ASH n° 2838 du 20-12-13, page 16) au motif qu’il baisse « les obligations de formation pour les grandes entreprises » et prescrit des droits à la formation sans « garanties de financement », ont indiqué ses dirigeants à l’AFP. La CGT est le seul syndicat à ne pas signer l’accord. Côté patronal, la CGPME l’avait déjà rejeté le 18 décembre. Le texte doit maintenant être transposé dans un projet de loi qui devrait être présenté en conseil des ministres le 22 janvier.
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