sont en moins bonne santé que les autres lors de leur entrée en prison : la prévalence du VIH est chez elles six fois plus élevée, un entrant sur quatre consomme au moins deux substances addictives, la prévalence des troubles psychiques est quatre fois plus grande… Tels sont quelques-uns des constats rappelés par le Groupe national de concertation prison (auquel appartiennent la Croix-Rouge, Emmaüs France, la FNARS, le Genepi et le Secours catholique), qui organisait, du 25 au 30 novembre, les XXes « journées nationales prison » sur le thème de la santé. L’occasion, aussi et surtout, de revenir sur les causes de la détérioration de la santé des personnes détenues : mauvaise prise en charge, surpopulation, vieillissement…
Côté terrain
En bref – Les personnes incarcérées
Article réservé aux abonnés