Recevoir la newsletter

Lutte contre l’illettrisme : un chantier de longue haleine

Article réservé aux abonnés

Le 15 novembre s’achèvent, à Lyon, les « assises nationales et européennes de l’illettrisme ». Un événement destiné à renforcer la mobilisation des acteurs face à un fléau qui touche 7 % des personnes de 18 à 65 ans. En effet, si d’importants progrès ont été accomplis, le phénomène est loin d’être enrayé.

Dans notre société fondée en grande partie sur la réussite scolaire, l’illettrisme demeure fortement stigmatisé et les personnes concernées multiplient les stratégies pour éviter de laisser paraître leurs lacunes. Or l’invisibilité qui en découle masque un chiffre sans appel : les difficultés de lecture et d’écriture touchent 2,5 millions de personnes en France.

Si le phénomène n’est pas nouveau, il n’est apparu comme un « problème social » qu’à partir des années 1980, lorsque l’écrit a commencé à prendre une place centrale. Face à la montée des exigences sociales, professionnelles, culturelles et économiques, l’illettrisme est devenu un frein pour communiquer, utiliser des biens et des services, accéder à l’emploi, aux soins, au logement, à l’information… S’attaquer à ce problème est alors apparu indispensable pour répondre à un double enjeu : de cohésion sociale en aidant les personnes à (re)trouver une autonomie dans leur vie quotidienne et à sortir du sentiment de dévalorisation de soi, et d’insertion professionnelle en visant une élévation des compétences de base.

Dès 1984, un premier rapport a été publié sur le sujet (1), suivi la même année par la création du Groupement permanent de lutte contre l’illettrisme (GPLI). Mais c’est la loi d’orientation de lutte contre les exclusions du 29 juillet 1998 qui a fait de la lutte contre ce fléau une priorité politique, plusieurs fois réaffirmée depuis. Créée en octobre 2000 en remplacement du GPLI, l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme (ANLCI), groupement d’intérêt public qui dispose d’une équipe nationale et de chargés de mission régionaux, en est le bras armé (voir encadré, page 23).

Résultat : en 2011, 7 % des adultes de 18 à 65 ans étaient en situation d’illettrisme (contre 9 % en 2004) (2) et près de 100 000 d’entre eux bénéficiaient d’une action de formation (contre 60 000 en 2004) (3). S’il y a bien un effet de génération, « la mobilisation commence aussi à produire ses fruits. Une dynamique s’est installée », se réjouit Hervé Fernandez, directeur de l’ANLCI.

GRANDE CAUSE NATIONALE

Reste que, malgré les progrès, le phénomène est loin d’être enrayé. Alors que la crise économique accentue le risque d’exclusion des personnes qui ne maîtrisent pas les compétences de base, le nombre d’actions proposées reste largement en deçà des besoins. Dans ce contexte, l’attribution cette année du label « grande cause nationale » au collectif « Agir ensemble contre l’illettrisme » – à la suite de la mobilisation de 65 as­sociations et organisations nationales (4) autour de l’ANLCI – va dans le bon sens. L’importante opération de communication qui a suivi (notamment un spot informatif diffusé à la radio et à la télévision) a visé à informer les personnes concernées mais aussi à changer les représentations du grand public. Des assises régionales ont été organisées de mai à juillet en France pour comprendre les enjeux locaux, mieux connaître les réponses mises en œuvre et imaginer de nouvelles coopérations entre les acteurs, et un ouvrage intitulé L’illettrisme a été publié (5). Enfin, et surtout, le 14 novembre, lors des « assises nationales et européennes de l’illettrisme » (6), George Pau-Langevin, ministre déléguée à la réussite éducative, a présenté un plan de mobilisation de l’Education nationale sur le sujet.

Au crédit du label « grande cause nationale », l’appui du gouvernement qui, tout au long de l’année, a rappelé l’importance de la lutte contre l’illettrisme : non seulement celle-ci est citée en préambule de la loi sur la refondation de l’école et dans la circulaire de l’Education nationale de préparation de la rentrée 2013, mais des directives ont aussi été données aux préfets de région dans le cadre du plan pour l’inclusion sociale. En outre, les ministres de l’Education nationale et du Travail ont saisi le Conseil national de la formation professionnelle tout au long de la vie pour qu’il se dote d’orientations en la matière. Enfin, des moyens du Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels (FPSPP) ont été dégagés pour freiner l’illettrisme dans les entreprises.

C’est toutefois sur le terrain que la lutte contre l’illettrisme se joue véritablement. Elle mobilise, souvent depuis des années, quantité d’acteurs issus de différents secteurs (social, culturel, éducatif, professionnel, sanitaire…). En réponse aux situations très diverses (voir page 25), les chemins empruntés sont multiples. Située à Chaumont (Haute-Marne), l’association d’éducation populaire Initiales, également pôle régional de ressources culturelles pour la lutte contre l’illettrisme et organisme de formation, a choisi comme axe d’intervention principal la culture. Elle anime, grâce à son équipe pluridisciplinaire, un réseau de plus de 200 structures (sociales, de formation ou culturelles) en Champagne-Ardenne. Son festival de l’écrit permet chaque année à des personnes en difficulté d’écriture de rédiger des textes libres destinés à être partagés dans un journal édité pour l’occasion – les meilleurs d’entre eux sont récompensés lors d’une remise de prix. Des ateliers d’écriture et de (ré)apprentissage de la langue sont également l’occasion d’aborder l’écriture comme facteur de lien social et de découverte culturelle. « Apprendre que le mot “pyjama” vient d’Inde, c’est l’occasion d’évoquer la géographie, de s’ouvrir sur le monde », note Edris Abdel Sayed, le directeur pédagogique régional. Il n’y a toutefois pas de recette miracle : « Chaque situation d’illettrisme est différente : il faut s’appuyer sur les centres d’intérêt des personnes et sur leurs compétences pratiques et symboliques. Par exemple, pour un jeune qui veut devenir boucher, nous allons commencer par le mettre à l’aise avec le vocabulaire professionnel – nom des viandes, des couteaux… – et avec les calculs simples – poids, prix… – pour qu’il dépasse ses blocages et ait envie d’aller plus loin. »

Si réapprendre est possible quel que soit son âge et selon des méthodes variées, la clé de la réussite suppose d’éviter le cours magistral, précise le sociologue Hugues Lenoir : « Il faut faire en sorte que les personnes soient actives en s’appuyant sur des méthodologies alternatives comme la pédagogie Freinet où les savoirs prennent sens puisqu’ils offrent l’accès à la compréhension, la communication et l’autonomie. Pour limiter l’échec scolaire, cette “déscolarisation” du processus pédagogique mériterait d’être généralisée à l’école, mais on en est encore loin ! En revanche, elle est bien avancée dans le secteur associatif. »

LA VIE DE TOUS LES JOURS

« C’est indiqué en gros dans notre hall : “Ici, on n’est pas à l’école” », fait remarquer Rose-Marie Ryan, directrice des ateliers de formation de base au sein d’Emmaüs-Solidarité à Paris. Point de manuels scolaires en effet : les formateurs utilisent de nombreux documents de la vie de tous les jours (administratifs notamment) comme supports d’apprentissage, qu’ils exploitent selon le niveau des personnes et les objectifs à atteindre (fixés individuellement en début de session). En outre, les ateliers de formation de base se doublent d’ateliers culturels, artistiques ou citoyens, qui « font travailler d’autres fonctions cognitives et rendent les personnes plus disponibles aux apprentissages de l’écriture et de la lecture », explique Rose-Marie Ryan.

Au-delà de la pédagogie, renouer avec l’écrit suppose, pour les adultes, « un déclic psychologique : il faut les aider à évaluer que les aspects négatifs de l’illettrisme qu’ils vivent au quotidien sont supérieurs aux aspects considérés comme positifs du type “je suis capable de m’en sortir malgré tout” », souligne le sociologue Benoît Hess. Pour cela, il faut ­pouvoir s’appuyer sur un objectif qui se situe au-delà de l’apprentissage des savoirs de base. Il peut s’agir de l’acquisition d’une autonomie sociale. Dans de nombreux cas, c’est le levier professionnel qui motive les personnes : pour trouver ou conserver un emploi, faire face à des changements d’organisation de l’entreprise, réussir une évolution professionnelle… Situation fréquente : une personne qui a passé plusieurs dizaines d’années dans la même entreprise se voit proposer une promotion. Faute d’un niveau de lecture-écriture suffisant, elle décline l’offre de crainte de ne pas être en capacité d’écrire un rapport ou d’effectuer un calcul simple… Aussi l’employeur a-t-il un rôle central à jouer. D’autant qu’en organisant des actions de lutte contre l’illettrisme, il y gagne une élévation du niveau de compétences de ses salariés.

Quatre fédérations départementales ADMR de la région Centre l’ont bien compris. Constatant que de nombreuses aides à domicile étaient fragilisées par rapport à la lecture et à l’écriture, elles ont mis en place, entre 2012 et 2013, des parcours de formation alternant acquisition de savoirs de base et de savoirs techniques avec le soutien d’Uniformation. « En amont, nous avons construit une grille de positionnement avec le centre ressources illettrisme et analphabétisme [CRIA] du département à partir du référentiel “compétences clés” de l’ANLCI et de nos fiches de poste d’aide à domicile, explique Lydie Gentilhomme, responsable des ressources humaines et de la formation de la fédération du Loir-et-Cher. Environ un tiers de nos salariées, en priorité celles qui étaient sans diplôme ni qualification, ont été reçues individuellement par le CRIA qui a émis, selon les besoins de chacune, des préconisations concernant la durée de la formation à suivre : 35, 70 ou 105 heures. » Intitulée « Compétences clés en situation professionnelle », la formation mise en œuvre par l’organisme de formation Forcadis pour le volet « savoirs de base » et par l’Institut du travail social de Tours pour le volet « métier » avait pour fil rouge la communication en situation professionnelle. Il s’agissait notamment d’aider les salariées à mieux transmettre leurs observations (à l’écrit dans les cahiers de liaison et à l’oral auprès de leur responsable) et d’accompagner celles qui, engagées dans un projet de validation des acquis de l’expérience, étaient freinées par leurs difficultés d’écriture et d’expression orale.

De surcroît, la formation a contribué à l’amélioration de leur vie quotidienne, « par exemple, pour remplir des papiers, calculer des pourcentages de réduction pendant les soldes, mieux comprendre les leçons de leurs enfants scolarisés… », énumère Lydie Gentilhomme. Certaines, réticentes au départ, se disent prêtes à recommencer l’expérience. Seul bémol : les 105 heures de formation ne sont pas suffisantes pour les salariées les plus en difficulté. D’où la volonté des ADMR de leur proposer rapidement une formation complémentaire.

DES COMPÉTENCES FRAGILES

« Il y a certes quelques expérimen­tations intéressantes du côté des em­ployeurs, mais les apprentissages sont souvent liés à la profession exercée et les possibilités de transfert aux situations de la vie quotidienne sont limitées », modère toutefois Hugues Lenoir. Sans compter, poursuit-il, que les compétences acquises en entreprise sont rarement pérennes : « Les personnes ont du mal à les activer régulièrement sur le long terme et les services RH ne cherchent pas assez à ce que ces nouveaux savoirs soient mobilisés dans les situations de travail, si bien qu’ils finissent par s’éroder. » Le mot « illettrisme » est inconvenant en entreprise, constate plus globalement Benoît Hess : côté employeurs, communiquer sur le sujet n’est pas sans danger vis-à-vis des clients qui peuvent soudain douter de la qualité du produit ou du service rendu ; pour les personnes concernées, en faire état, c’est éprouver un sentiment de honte non seulement auprès de leurs responsables mais aussi de leurs collègues. Au point que, très souvent, pour compenser leurs lacunes, « elles ne vont pas compter leurs heures et montrer une motivation à toute épreuve, parfois en prenant des risques pour leur santé », regrette Benoît Hess.

Alors que l’intervention à l’âge adulte se révèle complexe, la prévention apparaît incontournable. Une grande partie des situations d’illettrisme prenant racine très tôt, il est nécessaire d’agir dès les premiers apprentissages de la petite enfance. Dans le cadre d’une action éducative familiale, dispositif coordonné par l’ANLCI depuis 2008, l’association Le pied à l’étrier, à Bollène (Vaucluse), propose des ateliers de lecture parents-enfants au sein des écoles et des cours d’acquisition des compétences de base orientés vers le fonctionnement de l’école pour les parents d’enfants scolarisés. « L’intérêt est double : pour les parents qui vont se familiariser avec le système scolaire et pour les enfants dans la mesure où l’on sait que l’amélioration des savoirs de base des parents se répercute sur leur scolarité », explique Floriane Barthélémy, directrice de l’association.

La prévention concerne aussi les jeunes dont les difficultés de lecture et d’écriture semblent s’aggraver – comme le constatent les missions locales. « Au­trefois, il existait une sorte de contrat implicite selon lequel en fonction des résultats obtenus à l’école, on avait un emploi, un logement… Aujourd’hui, comme les études ne permettent plus de trouver cet équilibre, de nombreux jeunes y renoncent », s’inquiète Hugues Lenoir. Or les premières années qui suivent la sortie du système scolaire sont celles où les plus fragiles risquent de perdre leurs bases en lecture et en écriture par manque de pratique. C’est pourquoi « il faudrait pouvoir continuer à les solliciter grâce à un suivi adapté », souligne Hervé Fernandez.

Parallèlement, l’ANLCI souhaite passer à la vitesse supérieure en accélérant la diffusion des bonnes pratiques et leur essaimage à l’échelon départemental, ce qui suppose de renforcer encore la mise en réseau et l’outillage des acteurs. Une meilleure articulation des dispositifs de droit commun serait également nécessaire « pour créer du liant entre eux. Par exemple, si l’intervention a lieu en milieu scolaire en direction des enfants, elle doit aussi pouvoir permettre de repérer les besoins des parents pour les orienter vers des dispositifs de formation appropriés », note Frédéric Blachier, chargé de mission « Illettrisme » en Ile-de-France. Il manque, selon lui, une « culture commune » de l’illettrisme. « L’Education nationale ne sait pas forcément ce que fait la direction générale de la cohésion sociale ou la direction du travail en matière d’illettrisme, de même que telle association locale ne connaît pas toujours l’action de sa voisine, qui peut être complémentaire. » « Les acteurs de la lutte contre l’illettrisme sont très cloisonnés, renchérit Benoît Hess. Même au sein des entreprises, il est très difficile de faire travailler ensemble les fédérations professionnelles, alors qu’elles ont parfois les mêmes projets face à l’illettrisme. »

Rien n’est donc définitivement gagné, pointe Hugues Lenoir. Le sociologue rappelle que « les niveaux requis en écriture et en calcul continuent à s’élever compte tenu d’un recours de plus en plus important à l’informatique ». Malgré ses intentions louables, l’opération grande cause nationale risque même, selon lui, d’avoir des effets limités : « Pour changer vraiment la donne, il faudrait transformer en profondeur notre conception de l’éducation dès l’école primaire. Et garantir d’autres accès aux savoirs de base dans la vie adulte pour que chacun puisse bénéficier, tout au long de sa vie, d’une pédagogie adaptée à son âge et à ses difficultés ».

De quoi parle-t-on ?

La création du mot « illettrisme », néologisme inventé en 1981 par ATD quart monde, a permis de le distinguer clairement de l’analphabétisme. Alors que ce dernier renvoie à la situation de personnes qui n’ont jamais été scolarisées, l’illettrisme concerne celles qui, bien qu’ayant été scolarisées en France, n’ont pas acquis une maîtrise suffisante de la lecture et de l’écriture pour être autonomes dans la vie quotidienne : elles ont des difficultés à rédiger un chèque, écrire une liste de courses, lire des panneaux indicateurs, déchiffrer une notice de médicaments ou un mode d’emploi, se repérer dans un planning de travail… L’illettrisme se différencie également de la situation des personnes en apprentissage du français langue étrangère (FLE), qui concerne des migrants arrivés en France sans maîtriser notre langue.

Dix ans d’efforts

Dès 2003, l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme (ANLCI), chargée de coordonner tous les acteurs concernés au plan institutionnel et sur le terrain (Etat, collectivités territoriales, entreprises, partenaires sociaux, associations…), s’est dotée d’un cadre de référence (7) visant à organiser une politique nationale transversale – de la petite enfance aux seniors via la prévention, l’éducation et la formation des adultes. Principale avancée : l’élaboration d’une définition partagée de l’illettrisme, qui a servi de socle pour la conduite d’enquêtes destinées à mieux cerner le public – notamment en produisant des statistiques (avec une première enquête nationale de l’INSEE en 2004). C’est sur cette base commune qu’ont pu être formalisés des plans régionaux de lutte contre l’illettrisme sous l’égide des préfets de région, des recteurs et des présidents de conseils régionaux.

Depuis 2004, avec le soutien du Fonds social européen, l’agence a impulsé un « forum permanent des pratiques » qui, tout en formant les acteurs et les structures, repère, promeut et diffuse les bonnes pratiques aux plans national et régional – en particulier par le biais de guides et de référentiels.

Des actions pour les salariés en insertion

Il n’est pas rare que les salariés en insertion connaissent des difficultés de lecture et d’écriture. Pour y répondre, le réseau national Chantier école mène depuis une dizaine d’années des actions en partenariat avec l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme. Après avoir créé un guide et une malette pédagogique sur le sujet, il met en œuvre, depuis 2012, une expérimentation visant à accompagner les structures dans la création d’outils pédagogiques préparant la validation du certificat de qualification professionnelle (CQP) (8) des salariés polyvalents en parcours d’insertion. Dans ce cadre, des périodes de professionnalisation d’une durée de 150 à près de 400 heures sont proposées en fonction des besoins des personnes, en partenariat avec Uniformation, l’organisme paritaire collecteur agréé de la branche. Répartie en quatre modules qui renvoient à des compétences en matière de santé et sécurité au travail, de savoirs techniques, de savoir-être et de savoir-faire (parmi lesquelles lire et écrire, appréhender le temps et l’espace, utiliser les mathématiques en milieu professionnel), la formation devrait à terme bénéficier à 3 000 salariés par an.

Notes

(1) Des illettrés en France – Rapport au Premier ministre, de Véronique Espérandieu, Antoine Lion, Jean-Pierre Bénichou – Ed. La Documentation française, 1984.

(2) Enquête INSEE Informations et vie quotidienne (IVQ) 2011.

(3) Voir l’état des lieux réalisé en 2012 par l’ANLCI – Disponible sur http://goo.gl/sTMNwY.

(4) Dont ATD quart monde, la Croix-Rouge, Emmaüs, la Ligue de l’enseignement, l’association Lire et faire lire, l’UNAF, l’Uniopss mais aussi l’Association des maires de France, la CFDT, la CGT, le Medef…

(5) Ed. Milan, octobre 2013.

(6) Organisées par l’ANLCI – www.anlci.gouv.fr.

(7) Consultable sur http://goo.gl/bU1Bzl.

(8) Certification spécifique créée, délivrée et reconnue par une branche professionnelle.

Décryptage

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur