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« Les personnes modestes paient plus cher certains produits et services »

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Tout est plus cher quand on est pauvre : le logement, les assurances, le crédit, l’alimentation… Et les grands mécanismes redistributifs – impôt, assurance maladie, minima sociaux – renforcent encore cette double peine, que Martin Hirsch, père du RSA et président de l’Agence du service civique, dénonce dans un ouvrage.
De 1979 à 2005, les dépenses contraintes des ménages sont passées de 21 à 38 %. Mais pour les plus modestes, elles représentent désormais la moitié de leur budget. Pourquoi une telle différence ?

Ce qui explique l’emballement des dépenses contraintes, en particulier pour les populations modestes, c’est d’abord l’augmentation des dépenses de logement, notamment pour les petites surfaces. Il y a aussi l’apparition d’un nouveau poste de dépenses avec la téléphonie mobile et Internet. Enfin, le prix de l’énergie a également augmenté de façon importante au cours des dernières années. Mais surtout les personnes modestes paient plus cher certains produits et services, comparativement à leur revenu. C’est ce phénomène de la double peine que j’ai voulu dénoncer. En me fondant sur des données

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