Le constat est général : la situation financière des associations du secteur social et médico-social se détériore. « Les évolutions budgétaires étant très faibles (hausse comprise entre 0 et 1 % environ alors que celle des besoins est de l’ordre de 3 % au moins), nous devons puiser dans nos réserves, ce qui génère une pression croissante », constate Claudy Jarry, président de la Fédération nationale des associations et directeurs d’établissements et services pour personnes âgées (Fnadepa). « Nos budgets sont reconduits à l’identique, parfois même ils baissent », observe Thierry Nouvel, directeur général de l’Union nationale des associations de parents, de personnes handicapées mentales et de leurs amis (Unapei). En outre, les déficits, qui étaient jusque-là acceptés par les
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