relevant des collectivités territoriales sont « les grands oubliés » de la réforme des rythmes éducatifs dans les écoles maternelles et élémentaires engagée par le décret du 24 janvier 2013 et réaffirmée par la loi du 8 juillet 2013 pour la refondation de l’école, dénoncent 37 chercheurs et professionnels dans une lettre aux ministères concernés (qui compte près de 470 signataires). La réussite de ce chantier dépend pourtant de ces personnels, « qui ne font pas de la garderie », insistent-ils. Soulignant que la plupart des animateurs périscolaires n’ont pas les compétences minimales requises, les signataires réclament un plan de formation national de qualification des personnels en poste afin de les amener vers le BPJEPS (brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport). « L’animation socio-culturelle est un vrai métier doté d’un référentiel de compétences qui n’est ni sous la coupe de l’école, ni au service exclusif des parents », affirment dans leur lettre (disponible sur
Côté terrain
En bref - Les animateurs socioculturels
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