Et si l’EPIDE n’en finissait plus de payer le passage en force qui a présidé à sa création par ordonnance en août 2005 ? Chargé de dispenser une formation générale ainsi qu’un accompagnement vers l’emploi à des jeunes volontaires en très grande difficulté dans le cadre du programme « Défense 2e chance », il avait été imposé à l’époque par Michèle Alliot-Marie, ministre de la Défense, à son homologue de l’Emploi et de la Cohésion sociale, Jean-Louis Borloo. Lequel va accepter de financer le dispositif, mais avec des réticences et en traînant les pieds.
C’est que l’EPIDE, inspiré du service militaire adapté (SMA) qui existe outre-mer, n’est pas à la tête de centres de formation ordinaires. Bien que civils, ces derniers s’appuient sur une di
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