(Association nationale des directeurs et cadres d’ESAT) refuse de voir les établissements et services d’aide par le travail passer de la tutelle de l’Etat à celle des collectivités locales. Elle y voit « une fuite en avant et un abandon par l’Etat de ses responsabilités alors que de nombreuses questions – financement insuffisant, rigidité de la réglementation… – restent en suspens et qu’aucune solution concrète n’est amorcée pour les régler ». Cette perspective – déjà contestée par le Comité d’entente des associations représentatives de personnes handicapées et de parents d’enfants handicapés – avait été évoquée par le président de la République le 5 octobre dans le cadre du nouvel acte de décentralisation (voir ASH n° 2778 du 12-10-12, page 10).
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