Des enfants suspendus à un possible appel de leurs parents sur le mobile que ces derniers leur ont offert; ou qui reçoivent d’eux des SMS violemment rejetants. D’autres qui téléphonent à leur famille à tout instant : « Tatie ne veut pas me donner de limonade. » Un beau-père qui tente de se faire passer pour un éducateur spécialisé sur Internet. Une adolescente exposée aux aléas de la vie privée de sa mère via Facebook. « La communication directe entre parents et enfants, par le portable ou Internet, “zappe” le tiers que représente le service », ont souligné des pro fessionnels lors des journées d’étude de l’Association nationale des placements familiaux (ANPF) consacrées à ces nouveaux outils (1). En confrontant les travailleurs sociaux
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