Une dilution des interventions sur un nombre beaucoup trop important de quartiers. Des défauts persistants de gouvernance et de coordination. Un manque d’articulation entre rénovation urbaine et accompagnement social. Une répartition inadéquate des crédits dédiés à la politique de la ville. Ou bien encore une trop faible mobilisation des politiques publiques de droit commun. Tels sont les facteurs qui, selon un rapport de la Cour des comptes rendu public le 17 juillet (1), expliquent qu’après une décennie de réformes entamée avec la loi du 1er août 2003 d’orientation et de programmation pour la ville et la rénovation urbaine et en dépit des efforts réalisés, les écarts de développement entre les quartiers prioritaires et les villes environnantes ne se sont pas réduits. Une analy
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