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LA SUPPRESSION DU DROIT D’ENTRÉE À L’AME (aide médicale de l’Etat) de 30 €, qui avait été instauré par la loi de finances pour 2011, est une mesure de bon sens tant sur le plan sanitaire qu’économique, puisque le surcoût représenté par les retards de prise en charge induits par cette taxe est estimé à 20 millions d’euros, se félicite l’Observatoire du droit à la santé des étrangers (ODSE), dont sont notamment membres le Comede, le GISTI et Médecins du monde. Cette décision (voir numéro, page 14) reste néanmoins insuffisante pour garantir une réelle égalité de l’accès aux soins, estime-t-il, réitérant sa demande d’intégrer l’AME dans la couverture maladie universelle (CMU).

PRÉCISION. Dans l’enquête sur les 10 ans de loi 2002-2 publiée dans notre n° 2767, le rôle joué par Sylviane Léger, directrice générale de l’action sociale de juillet 2000 à juillet 2003, n’a pas été mentionné. Or, succédant à Pierre Gauthier, elle avait conduit l’élaboration de ce texte durant sa phase la plus active. Qu’elle veuille bien nous excuser pour cet oubli.

SOINS FUNÉRAIRES. Six mois après s’être mobilisées en faveur de la levée de l’interdiction de soins funéraires aux personnes atteintes du sida (voir ASH n° 2740 du 6-07-12, page 37), 37 associations locales et nationales (dont Act Up, Aides, Sidaction…) exhortent Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, à signer les textes la prévoyant préparés par son prédécesseur. Elles lui rappellent que François Hollande s’était engagé pendant sa campagne à mettre fin à cette interdiction.

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