Comment intervenir auprès des adolescents, des jeunes adultes et des familles, quand, travailleur social, on exerce dans des quartiers populaires où s’organisent des trafics de drogue ? Quelle attitude adopter lorsque, chargé d’une mission de protection de l’enfance, on voit de plus en plus de mineurs y participer ? Il y a dix ans, des professionnels de l’action sociale et de l’animation de l’Association départementale pour le développement des actions de prévention (ADDAP 13) (1) ou de centres sociaux, dans les XIIIe et XIVe arrondissements de Marseille ont décidé de prendre le problème à bras-le-corps et de constituer un groupe de travail : « Questions de réseaux », pour y réfléchir (voir encadré
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