Longtemps, l’animation en direction des personnes âgées est restée une activité marginale. Les postes étaient rares, souvent à temps partiel, avec un personnel sans qualification – beaucoup d’aides-soignants mais aussi des artistes, voire des chargés de communication qui se formaient sur le tas. La plupart des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) n’avaient d’ailleurs aucune ligne budgétaire consacrée spécifiquement à l’animation et piochaient dans divers budgets (communication notamment). Pour certaines maisons de retraite du secteur lucratif, l’animation avait surtout valeur de produit d’appel pour attirer de nouveaux clients. Et, en interne, les animateurs étaient souvent regardés de haut par les autres professionnels qui les considéraient comme des « amuseurs » pendant qu’eux s’occupaient de choses sérieuses. A leur décharge, faute d’avoir encore défini un corpus méthodologique de référence, l’animation en gérontologie se réduisait alors, dans bien des cas, à une juxtaposition d’activités.
Depuis quelques années, s’il demeure ici et là des services d’animation indigents et/ou incompétents, le nombre d’animateurs a explosé et la professionnalisation du secteur s’est considérablement accrue (voir encadré, page 30). Suivant de près le rapport Hervy en faveur du développement de la vie sociale des personnes âgées (1), le tournant se situe en 2005 avec la création de la première qualification professionnelle adaptée à l’animation en gérontologie (2) : le brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport (BPJEPS) spécialité « animation sociale » qui, s’il vise plus globalement l’insertion sociale des publics en risque ou en situation d’exclusion, forme, pour l’heure, surtout des animateurs auprès des personnes âgées en établissements. Il a été suivi, en 2008, par le diplôme d’Etat de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport (Dejeps) « animation sociale ».
En optant pour le terme d’« animation sociale » et en lui donnant un contenu précis (développement des capacités relationnelles et sociales, réactivation du lien social et insertion sociale), les textes créant ces diplômes ont renforcé l’identité professionnelle des animateurs en gérontologie et mis fin aux interrogations du secteur sur sa proximité ou non avec l’animation socio-culturelle, socio-éducative ou récréative : désormais les animateurs sociaux, même s’ils conservent de nombreux outils communs avec les autres professionnels de l’animation (avec une place centrale donnée à la méthodologie de projet), sont clairement affiliés à une famille plus large d’« intervenants sociaux » – à côté des éducateurs spécialisés, des assistants de service social et des professionnels de la petite enfance. En témoigne le fait que le BPJEPS est dorénavant délivré non seulement par le ministère de la Jeunesse et des Sports, mais également par le ministère des Affaires sociales.
La constitution d’une filière professionnelle – avec, depuis 2007, la possibilité, pour les titulaires du BPJEPS « animation sociale » d’obtenir le statut d’animateur de la fonction publique hospitalière et, depuis juin 2011, la reconnaissance du BPJEPS et du Dejeps au sein de la fonction publique territoriale (3) – a également permis aux animateurs en gérontologie de mettre en évidence les spécificités de leur métier par rapport aux professions du soin qui sont majoritaires dans les institutions qui les emploient. Et de revendiquer une place à part : ni médicale ni thérapeutique mais équivalente – et complémentaire – à leurs collègues soignants.
Ce processus institutionnel est venu consolider la démarche de construction professionnelle menée en parallèle par les acteurs du secteur regroupés dans de nombreux collectifs régionaux fédérés au sein du Groupement des animateurs en gérontologie (GAG) – qui est à l’initiative, en 2006, d’une charte de l’animation en gérontologie et, en 2010, d’une commission nationale d’éthique chargée de réfléchir à l’amélioration des pratiques.
« Aujourd’hui, explique le sociologue et psychologue Richard Vercauteren, l’animation sociale n’a plus rien d’une vitrine mais correspond à un véritable accompagnement des personnes âgées pour les aider à rester dans la société sans rupture en les maintenant, quel que soit leur degré de dépendance ou d’isolement, du côté de la vie. » La méthode, caractéristique du secteur de l’animation, se focalise non pas sur les manques des personnes mais sur leurs aspirations. Avec une spécificité, propre au public âgé qui a du mal à formuler ses besoins : la nécessité de travailler « à partir d’embryons de souhaits et non plus à partir d’une logique offre/demande qui prévaut souvent dans le secteur de l’animation socioculturelle », explique Bernard Hervy, ancien animateur et président-fondateur du GAG.
A condition de ne pas mettre les personnes âgées en échec, ni, surtout, de les infantiliser, la prise en compte des attentes individuelles est un catalyseur : elle va leur permettre de conserver une identité sociale et de redonner du sens à leur quotidien, deux éléments essentiels pour qu’elles retrouvent le désir d’être actrices de leur vie et (re)tissent du lien social avec leur entourage.
C’est tout l’enjeu du travail autour de la notion de projet personnalisé qui, s’il n’est pas l’apanage de l’animation en gérontologie, doit néanmoins à ce secteur une part importante de son développement. Selon le GAG qui l’a largement conceptualisé et dont une partie des analyses a été reprise fin 2008 dans des recommandations de l’ANESM (Agence nationale de l’évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux) (4), le projet personnalisé, loin de catégoriser les personnes dans des groupes aux problématiques similaires, résulte d’une co-construction entre la personne, à qui sont reconnus attentes et besoins singuliers, et les professionnels. « C’est un accompagnement sur mesure », explique David Séguéla, animateur au sein de l’EHPAD de La Valoine, à Feytiat, près de Limoges (Haute-Vienne). Bien que le projet personnalisé soit un outil institutionnel, les animateurs sont bien placés pour jouer un rôle moteur dans sa mise en œuvre. Chargés de tisser des liens quotidiens entre les personnes âgées, le personnel soignant, les familles…, ils sont souvent au courant des histoires intimes des résidents et peuvent se faire l’écho de leurs aspirations.
Au sein de l’EHPAD de La Valoine, David Séguéla participe ainsi à la réunion de synthèse qui a lieu trois semaines après l’arrivée de chaque résident. En présence des autres professionnels de l’établissement (psychologue, cadre de santé, médecin, infirmiers, aides-soignants…), il prend part à la définition d’axes d’action prioritaires qui sont ensuite présentés au résident et à sa famille pour vérifier qu’ils correspondent bien à leurs attentes. A l’issue de cette réunion, le service d’animation a, par exemple, établi un programme d’activités (équitation adaptée et atelier multimédia) à l’extérieur de l’établissement en partenariat avec l’Association des paralysés de France (APF) pour une personne handicapée, âgée seulement d’une soixantaine d’années, qui souffrait du décalage par rapport aux autres résidents plus âgés. Il en assure la logistique.
Au centre hospitalier gériatrique Broca-La Rochefoucauld-La Collégiale, à Paris, le projet personnalisé, défini à l’arrivée de la personne, de façon pluridisciplinaire, en lien avec les familles, est réactualisé une fois par an. « Lorsque c’est notre service qui est le mieux placé pour le mettre en œuvre, nous détachons un animateur », explique Claire Hartweg, responsable du service animation et vie sociale, qui comprend quatre permanents – elle-même, titulaire du DEFA (diplôme d’Etat relatif aux fonctions d’animation) et du Caferuis (certificat d’aptitude aux fonctions d’encadrement et de responsable d’unité d’intervention sociale), et trois titulaires du BPJEPS. C’est par exemple le cas lorsqu’un patient souhaite se rendre dans une exposition ou apprendre à jouer aux échecs. « Mais, avec 408 longs séjours, nous ne pouvons être derrière chaque patient », commente-t-elle.
Il ne s’agit d’ailleurs pas d’éliminer totalement le collectif – « la vie sociale ne se construit pas tout seul au fond de son lit ! », rappelle Bernard Hervy. Mais plutôt d’articuler l’approche individuelle et l’approche collective. En associant les résidents au choix des animations : à Broca-La Rochefoucauld-La Collégiale, une fois par an, un questionnaire est distribué pour évaluer si ces dernières répondent bien aux attentes ; à La Valoine, le programme d’activités de l’établissement, diffusé par le biais d’un journal interne, est préparé par les résidents à partir de leurs suggestions. Ou bien en privilégiant les ateliers (revue de presse, jeux, groupe de parole, gymnastique douce…) en petits groupes de cinq à dix personnes.
Or les animations en grands groupes, décidées sans concertation avec les principaux concernés, ont encore souvent l’avantage. Si elles sont intéressantes, pour donner des repères temporels par exemple, ou simplement pour susciter des réactions, même infimes – bouger la jambe en rythme, lors d’un concert, est parfois le seul signe de participation d’une personne mais c’est déjà beaucoup si elle est habituellement prostrée –, l’animation en gérontologie ne peut s’en contenter. Pour des raisons législatives – la loi 2002-2 invite à une meilleure prise en compte des usagers – mais aussi sociologiques : avec l’augmentation du niveau de dépendance en EHPAD (5) et l’hétérogénéité croissante des publics qui en découle, il devient difficile de faire l’impasse sur la diversité des attentes des personnes. A côté d’individus dotés d’une autonomie importante, en demande d’investissement actif dans des projets collectifs, d’autres peinent à quitter leur lit – certains en sont même incapables.
L’augmentation du nombre de personnes souffrant de troubles neuropsychologiques, comme la maladie d’Alzheimer, a également des incidences sur l’organisation des animations : les troubles de l’humeur ou du comportement rendent difficilement gérables les grands groupes et les problèmes de mémoire, à eux seuls, entraînent des difficultés à se souvenir des horaires des activités (ce qui implique d’aller chercher les personnes dans leur chambre) et empêchent de décliner les activités dans la durée. « Seul l’instant présent compte. Aussi devons-nous faire le deuil d’un quelconque retour sur une animation une fois qu’elle est terminée », observe Claire Hartweg.
Autant d’évolutions qui poussent l’animation en gérontologie à poursuivre sa mutation vers la personnalisation de la prise en charge. Pour bien mettre en évidence ce tournant, une nouvelle terminologie apparaît peu à peu : à la place de l’expression « animation en gérontologie », que certains n’hésitent plus à qualifier de désuète, il faudrait désormais plutôt parler d’« animation pour les personnes âgées », voire, comme le recommandent Bernard Hervy et Richard Vercauteren (6), d’« animation avec les personnes âgées ».
Cet infléchissement du cadre de référence, que tous les projets d’animation, désormais présents dans la quasi-totalité des projets d’établissements, ne reflètent pas encore, s’accompagne d’une transformation du rôle de l’animateur vers une fonction de coordinateur-chef d’orchestre. Afin de répondre aux différents besoins identifiés, l’animateur est en effet de plus en plus souvent amené à solliciter les personnels appropriés. Quelques résidents ont émis le souhait d’un atelier peinture ? L’animateur fera en sorte qu’un aide-soignant motivé soit mis à disposition pour l’encadrer – en pratique, la pénurie d’aide-soignant restreint toutefois le recours à ce type d’arrangements. Une sortie hors de l’établissement est prévue ? Il demandera l’autorisation de détacher un infirmier.
Et, lorsque les compétences n’existent pas en interne, il doit rechercher et mettre en œuvre des partenariats – de l’avis de tous, un axe fondamental de son travail. De fait, associations, familles, bénévoles, au-delà des professionnels, les partenaires potentiels sont nombreux et incontournables. « L’enjeu est de mobiliser autour de la notion de “vie sociale” tous les acteurs qui contribuent à sa mise en acte », expliquent Bernard Hervy et Richard Vercauteren (7). Le service animation et vie sociale de Broca-La Rochefoucauld-La Collégiale a ainsi mis en place des conventions avec des associations artistiques : en échange de la coproduction de spectacles ou de prêts de salles de répétition, le groupe hospitalier gériatrique bénéficie de représentations gratuites pour les patients – qui ont parfois lieu dans les étages pour plus de proximité. Et, depuis janvier, des rencontres intergénérationnelles avec des chiens comme médiateurs sont régulièrement organisées. Reste que ces partenariats sont fragiles. « Ils se construisent dans la durée, il faut que la confiance s’installe, cela prend du temps », explique Claire Hartweg.
Or le contexte budgétaire reste précaire : le financement de l’animation sociale des personnes âgées n’est toujours pas sécurisé. « Trop souvent les budgets soins sont parfaitement encadrés et prédéfinis annuellement, mais les budgets animation sont aléatoires, empiriques, résiduels, donnés au compte-gouttes », notent Bernard Hervy et Richard Vercauteren. Surtout, ils sont très faibles. Selon l’enquête menée en 2011 par le GAG et l’Institut du projet de vie, le budget de fonctionnement moyen d’un service d’animation en EHPAD est de 8,76 centimes d’euro par résident et par jour (à ramener au prix de journée moyen des maisons de retraite qui est d’environ 90 €). « Une honte ! », se scandalisent les acteurs du secteur. En cause : « Le financement de l’animation via le forfait “hébergement” alors que, dans la mesure où ce besoin ne résulte pas d’un choix individuel, elle devrait être prise en charge par le forfait “dépendance” », argumente Bernard Hervy. Lequel plaide également pour que l’allocation personnalisée d’autonomie (APA), qui finance l’aide à domicile, subventionne non seulement les soins et l’aide à la vie quotidienne mais aussi l’aide à la vie sociale. « Sinon on va faire vivre les vieux de plus en plus longtemps pour qu’ils meurent d’ennui ! », s’offusque-t-il. « Si l’on ne veut pas que la vieillesse se résume à l’attente de la mort, on ne pourra pas faire l’économie de moyens humains », observe pour sa part Claire Hartweg. Or, malgré l’engagement, lors du congrès national de l’animation en gérontologie de 2009, du secrétariat d’Etat aux aînés d’inscrire au moins partiellement les aides à la vie sociale dans les budgets d’aide à l’autonomie, rien n’a bougé. « Si l’on veut accroître la qualité de l’intervention en augmentant les compétences et en favorisant le travail en équipe, il va pourtant falloir faire évoluer les fonctionnements institutionnels et adopter de nouvelles solutions de financement », affirme le président du Groupement des animateurs en gérontologie.
Le BPJEPS (brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et des sports), spécialité « animation sociale » (niveau IV), niveau requis : le candidat à l’entrée en formation doit posséder une expérience d’une durée au moins égale à six mois dans le domaine de l’animation (8) (arrêté du 13 décembre 2005 modifié par l’arrêté du 6 septembre 2007).
Le Dejeps (diplôme d’Etat de la jeunesse, de l’éducation populaire et des sports) spécialité « animation socio-éducative ou culturelle » (niveau III), mention « animation sociale » (arrêté du 14 janvier 2008).
A côté de la filière professionnelle, il existe une filière universitaire qui propose des DUT (diplômes universitaires de technologie) « carrières sociales » option animation sociale et/ou socio-culturelle.
La précédente enquête nationale datait de 2003. Celle de 2011, menée par le GAG (Groupement des animateurs en gérontologie) (9) et l’Institut du projet de vie auprès principalement d’établissements pour personnes âgées, témoigne de fortes évolutions.
Entre 2003 et 2011, le nombre d’animateurs a augmenté de plus de 30 % (avec un animateur pour 93 résidents environ en 2003 et un animateur pour 71 résidents en 2011). Ils seraient aujourd’hui environ 8 000 : un peu plus de 5 000 dans les établissements pour personnes âgées (stable), environ 3 000 dans les collectivités locales (en forte augmentation), une centaine dans l’aide à domicile (avec une demande forte mais pas de financement).
Ce sont à 88 % des femmes et leur âge médian est de 42 ans avec une ancienneté dans l’animation de 11 ans, signe que l’animation en gérontologie n’est plus une activité occasionnelle mais professionnelle qui s’inscrit dans la durée. Les emplois aidés, qui représentaient 60 % des emplois d’animation en 2003, sont d’ailleurs tombés à 4 % aujourd’hui.
Dans le même temps, les animateurs diplômés représentent désormais 58 % des personnels d’animation (en équivalent temps plein). Parmi ces derniers, près de 40 % sont titulaires du BPJEPS « animation sociale » (ou de son ancêtre le Beatep) et près de 20 % du Dejeps « animation sociale (ou du diplôme d’Etat relatif aux fonctions d’animation [DEFA] qu’il a remplacé). On notera que le personnel non qualifié comprend une part importante d’aides médico-psychologiques (AMP) et de soignants – ces derniers souvent affectés à temps partiel sur les missions d’animation.
La quasi-totalité des établissements possède désormais un projet d’animation (96 % contre 68 % en 2003), même si, dans un tiers des cas, il n’est pas disponible pour les résidents (qui n’ont donc pas leur mot à dire à son sujet). Si l’évaluation des actions d’animation existe dans près de neuf cas sur dix, elle n’est complète (avec une évaluation par objectifs) que dans un cas sur deux, essentiellement lorsqu’elle est mise en œuvre par des professionnels. Le recueil des attentes des personnes âgées progresse mais il est rarement systématique (17 % des cas) et souvent réalisé une seule fois, lors de l’arrivée de la personne.
L’enquête relève également un paradoxe : reconnu pour ses compétences, l’animateur l’est beaucoup moins dans ses capacités à gérer un budget (pourtant peu élevé) – il n’a cette responsabilité que dans moins des deux tiers des cas. D’où l’une des conclusions de l’enquête : malgré une identité mieux établie, les animateurs en gérontologie ont encore à acquérir une véritable autonomie professionnelle.
(1) Intitulé Propositions pour le développement de la vie sociale des personnes âgées, ce rapport, remis en 2003 au secrétariat d’Etat aux personnes âgées, posait les fondements d’une politique d’animation sociale en direction des personnes âgées à travers une trentaine de propositions, dont le renforcement des moyens et la qualification des intervenants – Voir ASH n° 2335 du 28-11-03, p 21.
(2) Il existait auparavant un Beatep (brevet d’Etat d’animateur technicien de l’éducation populaire et de la jeunesse) « animation auprès des personnes âgées » mais c’était une simple option.
(3) Dans le cadre de la réforme de la catégorie B, les titulaires du BPJEPS et du Dejeps devraient prochainement pouvoir être intégrés à la fonction publique d’Etat et les titulaires du Dejeps « animation sociale » à la fonction publique hospitalière.
(4) Les attentes de la personne et le projet personnalisé – ANESM, décembre 2008 – Disponible sur
(5) Les plus de 85 ans représentent plus de 60 % de la population des EHPAD (enquête EHPA 2007).
(6) Dans leur dernier ouvrage Animateur et animation sociale avec les personnes âgées, démarche et méthode – Ed. érès, 2011.
(7) A l’occasion du VIe congrès national de l’animation et de l’accompagnement en gérontologie sur le thème « Des partenaires pour animer la vie sociale » les 22 et 23 novembre 2011 à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). Le prochain congrès aura lieu les 27 et 28 novembre prochain sur le thème « Innover dans l’animation sociale avec les personnes âgées » –
(8) Sauf pour les titulaires du brevet d’aptitude professionnelle d’assistant animateur technicien (Bapaat), du diplôme d’Etat d’auxiliaire de vie sociale (DEAVS), du diplôme professionnel d’aide-soignant, du diplôme d’aide médico-psychologique (AMP), du certificat d’aptitude professionnelle « petite enfance », du brevet d’études professionnelles « carrières sanitaires et sociales », du brevet d’études professionnelles agricoles « services aux personnes » et du titre professionnel « agent de médiation, information, services ».
(9) Fondé en 2000, le GAG est la principale association professionnelle du secteur ; il regroupe la plupart des associations d’animateurs en gérontologie en France – Contact :