« A l’heure des fusions, absorptions et autres regroupements fortement conseillés, il est des dirigeants d’associations et des professionnels qui redoutent que ce processus de concentration ne débouche sur la prédominance de très grosses organisations – véritables mastodontes à la réactivité lente – et sur la disparition programmée des associations de petite taille. Outre qu’ils peuvent y voir une discrimination sans fondement qualitatif, ils craignent que la rationalisation en cours s’exprime par une lourdeur technocratique, que les opérateurs deviennent des “fonctionnaires aux ordres” ou encore que la taille humaine des lieux d’accueil disparaisse et que les relations au travail évoluent défavorablement… Ces perspectives, sans être le moins du monde infondées, sont-elles pour autant à redouter
La sociologie des organisations nous mo
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