LA FNARS (Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale) salue les conclusions du rapport parlementaire sur l’hébergement d’urgence rendu public le 26 janvier (voir ce numéro, page 5), qui confirme l’insuffisance des capacités d’accueil. Elle appelle de nouveau à une meilleure observation des difficultés d’accès au logement et des besoins, sans laquelle on « se condamne à une incapacité à mettre en œuvre des politiques efficaces de prévention des ruptures, d’accueil digne et d’accompagnement vers le logement ». Autre urgence selon elle : l’instauration d’un « pilotage ambitieux ». Or, « au niveau national, on relève un cruel manque de coordination interministérielle et un manque de priorisation de la question par le chef de l’Etat, qui n’a jamais reçu les associations ».
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