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« Développer la recherche pour donner une légitimité aux savoirs des travailleurs sociaux »

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Le processus conduisant à une conférence de consensus sur la recherche dans le champ social à l’automne 2012 devait être lancé le 14 octobre. Objectif : y voir plus clair sur les « savoirs spécifiques » des professionnels et réfléchir au moyen de les valoriser, comme l’explique Marcel Jaeger, titulaire de la chaire de travail social et d’intervention sociale du CNAM, à l’initiative du projet.

Le débat sur le développement de la recherche dans le travail social est un véritable serpent de mer. Comment expliquer qu’il ait tant de mal à avancer ?

La question de la recherche dans ce secteur n’est effectivement pas nouvelle. Mais pour avancer, il faut au préalable résoudre celle de l’objet même du travail social, qui est un champ éclaté, aux frontières imprécises. Le travail social s’est constitué autour de trois branches historiques : l’une le considère comme un héritage de la santé publique, l’autre privilégie une approche focalisée sur la situation sociale et économique des personnes et, enfin, la troisième l’examine à partir de l’éducation spécialisée et de l’éducabilité des jeunes. Selon qu’on se réfère à l’une ou l’autre de ces dimensions, on peut mettre l’accent sur une approche de la recherche épidémiologique ou clinique, sociologique ou encore relevant des sciences de l’éducation. La première difficulté, c’est donc de définir l’objet même de la recherche.

A cela s’ajoute la question de la légitimité des travailleurs sociaux à se positionner sur ce champ pour une simple raison de démographie professionnelle. Si aujourd’hui plus de 95 % des étudiants s’inscrivant en première année d’éducateur spécialisé sont titulaires du baccalauréat, ils n’étaient que 53 % dans ce cas en 1983. Par ailleurs, on compte, en particulier dans la filière éducative, de nombreuses personnes ayant eu des difficultés scolaires, voire en démarche d’insertion.

Ce n’est pas leur faire injure que de dire que certains professionnels, du fait de leurs parcours antérieurs, sont plus éloignés de la recherche que d’autres. Du fait de l’éventail très large des niveaux de qualification, il y aura nécessairement un développement inégal de la recherche à l’intérieur du secteur social et médico-social. Il faut en tenir compte.

La réflexion ne part pas non plus de rien. La première tentative pour développer la recherche dans le champ social date de 1978, quand a été créé le diplôme supérieur en travail social (DSTS)…

Effectivement, le DSTS, puis la création de la MIRe (Mission de la recherche) au ministère chargé des affaires sociales en 1982 ou encore des instituts régionaux du travail social en 1986 constituent des temps forts dans le développement de la recherche. On peut citer également l’ouverture en 2001 de la chaire de travail social [devenue chaire de travail social et d’intervention sociale] au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), avec la création en 2002 d’un master de recherche « Travail social, action sociale et société », unique en France.

Mais ce mouvement s’est heurté à la fois à des résistances internes, liées aux cultures professionnelles du secteur, et externes. Par exemple, si la chaire a pu s’adosser au LISE (Laboratoire interdisciplinaire pour la sociologie économique), une unité mixte de recherche du CNRS, elle a dû affronter l’opposition de certains sociologues qui considéraient le travail social essentiellement comme un terrain d’application de leurs analyses. Pendant un temps, les travailleurs sociaux ont été simplement tolérés dans le champ de la recherche scientifique. Il avait même été dit que leur présence dans un laboratoire du CNRS pouvait avoir des effets négatifs au motif qu’il n’était pas évident qu’ils puissent produire des publications scientifiquesde rang A, dites d’excellence ! Il y a là un problème que nous sommes heureusement en train de dépasser.

Qu’est-ce qui permet aujourd’hui de relancer ce débat sur le développement de la recherche ?

Il existe, depuis ces dernières années, une dynamique qui invite à relancer la réflexion. On a aujourd’hui plusieurs associations qui se mobilisent pour promouvoir la recherche dans le champ social. A côté de l’Affuts (Association française pour la promotion de la recherche en travail social) et du RUFS (Réseau universitaire des formations du social) qui existent respectivement depuis 1993 et 1997, on a vu, depuis 2006, se créer, à l’initiative de formateurs, professionnels ou chercheurs, l’Acofis (Association des chercheurs des organismes de la formation et de l’intervention sociales), le CERTS (Centre européen de ressources pour la recherche en travail social) et l’Aifris (Association internationale pour la formation, la recherche et l’intervention sociale). Avec des conflits idéologiques parfois très marqués : si l’Affuts entend valoriser les savoirs professionnels spécifiques des travailleurs sociaux, l’Acofis et l’Aifris, certes avec des nuances, revendiquent, elles, une recherche qui réponde plus aux critères académiques et scientifiques. L’Acofis défend très nettement l’idée que le travail de recherche mis en œuvre par des professionnels de la recherche est distinct de celui des formateurs.

Ce débat d’idées se retrouve au plan régional depuis la circulaire du 6 mars 2008 qui a créé les pôles de recherche et d’étude pour la formation et l’action sociale (Prefas). Les centres de formation ont été invités à créer des synergies autour de la recherche, ce qui a entraîné des configurations très différentes et, là aussi, des conflits autour des orientations stratégiques. Certains se sont organisés pour valoriser la recherche, d’autres entendent la produire. Certains Prefas sont portés par l’université, alors que, dans d’autres, elle n’est qu’un partenaire. L’appellation Prefas n’est elle-même pas stabilisée : en Languedoc-Roussillon, on a créé un pôle ressources-recherche-formation-intervention sociale (Prefis) afin de souligner les liens avec l’Unaforis (Union nationale des associations de ­formation et de recherche en intervention sociale) qui valorise aussi la notion d’intervention sociale. Il y a une émulation autour de la recherche sur fond de conflits d’idées et de logiques de concurrence.

Quel est l’objet de la conférence de consensus ?

Le secteur social défend depuis longtemps l’existence de « savoirs d’intervention spécifiques », irréductibles aux connaissances des disciplines constituées. Il y a une matière grise qui s’affirme à travers les congrès, mémoires, rapports de stages, recherches… actuellement peu valorisée. La circulaire du 6 mars 2008 est une première avancée puisqu’elle marque la reconnaissance officielle de la recherche action et qu’elle appelle au renforcement des liens entre production de connaissances, formation et intervention sociale. Il nous faut néanmoins aller plus loin afin de sortir du clivage stérile entre la recherche académique et l’élaboration des savoirs professionnels. L’objet de la conférence de consensus [voir encadré, page 31] est d’y voir plus clair sur ces savoirs et de réfléchir au moyen de leur donner une crédibilité et une légitimité au-delà des cercles d’initiés.

S’agit-il de reconnaître ces savoirs professionnels comme une « science » et donc une discipline à part entière, au même titre que les sciences de l’éducation ?

Cette question, qui fait aujourd’hui l’objet de débats virulents, requiert une analyse dépassionnée et des échanges approfondis. Elle appelle en effet plusieurs remarques. Tout d’abord, avant de se demander s’il existe une science ou des sciences propres au secteur social, il convient de s’entendre sur la notion de « science » pour lever ses nombreuses ambiguïtés. Pour évoquer un secteur proche, je suis, pour ma part, très réservé sur la reconnaissance des « sciences infirmières » que réclame en France l’ARSI (Association de recherche en soins infirmiers).

On ne peut pas non plus se contenter d’enfiler les chaussons des sciences de l’éducation, voire des sciences de gestion, au motif que, dans les deux cas, des « savoirs professionnels spécifiques » ont été transformés en sciences, aujourd’hui dûment reconnues. Si les sciences de l’éducation ont été reconnues comme une discipline universitaire en 1967, c’est qu’il existait aussi à l’époque de nombreux travaux de recherche. Nous ne sommes pas, dans le champ social, au même niveau de production.

Enfin, le statut de science ne relève pas de l’autoproclamation d’un champ professionnel. Pour que le travail social devienne une discipline scientifique au sens plein du terme, il doit répondre à une série de critères définis par le Conseil national des universités. La reconnaissance que certains appellent de leurs vœux est aujourd’hui loin d’être une évidence.

Les professionnels du social y sont-ils d’ailleurs tous favorables ?

Il faut, là aussi, tenir compte de l’hétérogénéité du secteur et de ses tiraillements. On observe actuellement deux mouvements contradictoires : l’un, centré sur la valorisation de l’expertise et de l’ingénierie sociale, irait plutôt dans le sens d’une science du travail social (les conseillers en économie sociale familiale parlent d’ailleurs clairement d’une démarche scientifique et technique); l’autre, porté sur les valeurs, l’éthique et la réflexion philosophique, tendrait davantage vers la valorisation de la clinique et des pratiques professionnelles. Cette tension rend d’autant plus nécessaire de mettre autour d’une table des professionnels qui, bien qu’exerçant dans le même secteur professionnel, sont sur des orbites différentes.

Les partisans d’une science du travail social défendent l’idée d’une recherche « en » travail social, c’est-à-dire endogène au secteur et effectuée par ces professionnels… Pour d’autres au contraire, la recherche ne peut être que « sur » le travail social et réalisée par des chercheurs patentés (1). La conférence de consensus doit-elle trancher cette question ?

En tant qu’organisateurs, nous n’avons pas voulu nous enfermer dans ces débats byzantins, d’autant que les positions sont loin d’être aussi tranchées qu’il n’y paraît. Lors de la journée d’étude du 14 octobre, nous invitons d’ailleurs les participants à réfléchir à ce que pourrait être une recherche légitime « en/dans/ sur » le travail social. Nous voulons garder une approche très ouverte de la recherche en visant à la fois celle effectuée par les praticiens, les formateurs ou les chercheurs.

Qu’est-ce qui fait, en effet, une recherche digne de ce nom ? Ce n’est pas qu’elle soit effectuée par un chercheur ou un travailleur social. Ce qui compte, c’est la démarche : en particulier dans le champ social, la capacité de son auteur à avoir une approche pluridisciplinaire en mobilisant les différentes sciences humaines. Le fait qu’il soit travailleur social lui donne simplement une spécificité du fait de sa connaissance plus fine des réalités sociales et des publics.

Enfin, il n’y a de recherche que s’il y a production de connaissances nouvelles et non répétition d’analyses que l’on entend depuis des années. Beaucoup de gens disent qu’ils font de la recherche alors qu’ils ne font que rationaliser une argumentation dont ils ont déjà les tenants et les aboutissants. La question n’est donc pas de savoir s’il s’agit d’une recherche « en » ou « sur » le travail social, si elle est fondamentale ou appliquée, c’est de savoir jusqu’où on veut aller dans la production de connaissances nouvelles et sur quelles thématiques orienter celle-ci.

Comment amener les travailleurs sociaux à produire de la recherche, si on ne leur permet pas de préparer un doctorat sur leurs pratiques d’intervention ?

Au vu du nombre important de pays disposant de doctorats en travail social, la France fait, en effet, figure de parent pauvre. C’est pour cela que, dès la création de la chaire de travail social, l’objectif était de créer une filière complète de formations supérieures en travail social allant jusqu’au doctorat. Mais le projet butait sur le fait que le travail social n’est pas considéré comme une discipline scientifique. Or, aujourd’hui, nous avons l’opportunité de le mettre en place sans attendre cette reconnaissance, qui sera difficile. L’AERES (Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur), à l’occasion de l’évaluation de l’école doctorale du CNAM, nous a incités fortement à développer des « doctorats professionnalisants » afin de valoriser des pratiques professionnelles.

Ce qui est donc envisagé, c’est que le travail social soit une spécialité d’un doctorat académique classique. On pourrait ainsi préparer un doctorat de sciences humaines avec une option « travail social » et rédiger une thèse sur le sujet. Ce « doctorat professionnalisant » du Conservatoire national des arts et métiers aurait la même valeur qu’un doctorat académique et permettrait à ses titulaires de postuler à des postes de maître de conférences ou de professeur des universités.

Quand espérez-vous pouvoir ouvrir ce doctorat ?

Les discussions sont en cours avec le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. On espère que ce doctorat sera calé pour la rentrée de septembre 2013.

L’accès des travailleurs sociaux risque toutefois d’être freiné du fait de la non-reconnaissance de leurs diplômes au niveau universitaire…

Il faudra effectivement que les travailleurs sociaux aient un master 2. Néanmoins avec l’inscription des diplômes de niveau III dans l’espace européen de l’enseignement supérieur par leur mise en crédits (2), il est désormais possible pour leurs titulaires d’accéder sur dossier en master 1, et d’enclencher ensuite un master 2. Les professionnels ne sont plus obligés de passer par les procédures compliquées de validation des acquis de l’expérience. Certes, cela ne règle pas les questions statutaires – et salariales – liées à une reconnaissance de leurs diplômes au niveau II, mais c’est un pas important.

Vouloir intégrer la recherche dans l’activité des centres de formation suppose que les formateurs puissent se former à la recherche…

On sent une évolution chez les formateurs dont beaucoup aujourd’hui ont un doctorat et publient des travaux de recherche. Leur situation est néanmoins délicate car c’est souvent sur leur temps libre, une fois leurs activités pédagogiques effectuées, qu’ils peuvent mener leurs recherches. On bute là sur une question de moyens puisqu’il s’agit pour leurs employeurs d’assurer leur remplacement.

L’Acofis plaide, de son côté, pour le développement des laboratoires de recherche dans les instituts de formation…

C’est une façon de créer des espaces spécifiques pour la recherche dans les établissements de formation. J’y suis favorable d’autant que certains organismes de recherche n’ont que peu de réponses à leurs appels d’offres. Le problème, c’est la labellisation de ces laboratoires. Aujourd’hui, ils ne sont pas évalués et nous restons dans une logique de marché.

Le développement de la recherche suppose de renforcer les coopérations du dispositif de formation avec les universités…

Il faut rééquilibrer le rapport des centres de formation avec les universités, qui créent des masters à tout va dans le champ social. Un certain nombre d’établissements ont déjà engagé des coopérations et délivrent de façon concomitante un diplôme d’Etat du travail social et un diplôme universitaire. Néanmoins, nous n’avons aucune idée précise de ce qui se fait au plan national. D’où l’intérêt du groupe de travail que m’a demandé de présider la direction générale de la cohésion sociale sur le sujet. L’état des lieux qui doit être rendu en juin 2012 va nous permettre, lors de la conférence de consensus, d’avancer sur ces questions.

On a également du mal à avoir une visibilité de ce qui se fait au niveau de la recherche au plan européen…

Nous avons effectivement un problème de comparaison avec ce qui fait dans les Etats européens ou au Canada. Par exemple, l’université de Sherbrooke, au Québec, a ouvert deux doctorats en travail social. Mais si l’on regarde de plus près, l’un concerne la gérontologie et l’autre l’éducation sociale. On s’est rendu compte également que la Pologne, considérée pourtant comme un pays avancé sur le plan de la recherche sociale, rencontrait les mêmes problèmes d’articulation de savoirs professionnels et de reconnaissance universitaire. Les experts internationaux devraient nous aider, lors de la conférence de consensus, à mieux ajuster notre grille d’analyse.

Chercheur et professionnel

Reconnaître la légitimité des travailleurs sociaux à faire de la recherche et sortir du clivage entre la recherche académique et les « savoirs professionnels ». L’objectif que s’est fixé Marcel Jaeger s’inscrit dans la droite ligne d’un parcours lui-même décloisonné.

A 61 ans, celui qui a succédé en 2010 à Brigitte Bouquet comme titulaire de la chaire de travail social et d’intervention sociale au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) s’est toujours joué des frontières. Que ce soit entre l’action sanitaire, médico-sociale et sociale puisqu’il a été infirmier psychiatrique, puis formateur avant d’exercer des fonctions de direction dans des institutions sociales et médico-sociales (foyer d’hébergement, établissement et service d’aide par le travail) et des instituts de formation (Buc ressources, IRTS de Montrouge/Neuilly-sur-Marne). Ou entre l’action professionnelle et le travail de recherche qu’il a, en tant que sociologue, poursuivi parallèlement : dès 1984, il enchaîne en effet des contrats d’études avec la MIRe (Mission de la recherche), le commissariat général au plan, le ministère de la Justice avant de devenir, en 2003, chercheur associé du LISE (Laboratoire interdisciplinaire pour la sociologie économique), puis chargé de mission à la Mission nationale d’appui à la santé mentale. Membre en tant que « personne qualifiée » du Conseil supérieur du travail social, il siège également au conseil d’orientation de l’Observatoire national sur la formation, la recherche et l’innovation sur le handicap (Onfrih) et au conseil scientifique de l’Observatoire national de l’enfance en danger (ONED).

Dernières publications : Usagers ou citoyens ? De l’usage des catégorisations en action sociale et médico-sociale, ouvrage collectif dont il a assuré la direction (éd. Dunod, à paraître en novembre), Penser la participation en économie sociale et en action sociale, coécrit avec Brigitte Bouquet et Jean-François Draperi (éd. Dunod, 2009), Les défis de l’évaluation en action sociale et médico-sociale, cosigné avec Brigitte Bouquet et Ivan Sainsaulieu (éd. Dunod, 2007).

UNE CONFÉRENCE DE CONSENSUS EN NOVEMBRE 2012

Le 14 octobre, lors d’une journée d’étude (3), la chaire de travail social et d’intervention sociale du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) devait lancer officiellement avec quatre autres partenaires (4) le processus de conférence de consensus « sur la recherche sociale et la recherche en travail social ».

Soutenue par la direction générale de la cohésion sociale, cette conférence, envisagée en novembre 2012, permettra, pendant deux jours, de débattre des enjeux de la recherche dans le champ social. Un jury d’experts indépendants, dont des étrangers, sera chargé d’émettre des recommandations.

Parmi les questions abordées :

 la notion de « savoirs professionnels propres », les rapports entre théories et pratiques, les notions de « savoir d’action » et de « théorisations profanes » ;

 l’exemple d’autres secteurs d’activité comme la santé (avec les exemples étrangers des « sciences infirmières ») ou des doctorats en travail social mis en place au Québec ;

 l’état de la recherche dans le secteur social en privilégiant les recherches faites par les travailleurs sociaux ou les cadres.

Dans la foulée, les cinq partenaires lancent le « Prix du meilleur mémoire santé social 2012 » illustrant l’articulation de la santé, du social et du médico-social. Trois prix (de la recherche, du développement de projet, de monographies) récompenseront les meilleurs mémoires soutenus en 2010 et 2011 par des étudiants dans le cadre de la préparation des diplômes aux professions sociales. Ils seront remis au cours de la biennale de la recherche en travail social organisée du 4 au 6 juillet 2012, à l’Institut régional du travail social de Lorraine à Nancy. Date limite pour concourir : le 31 décembre prochain (rens. sur www.unaforis.eu).

I. S.

Notes

(1) Voir notamment le débat dans la rubrique « Vos idées » entre l’Acofis (Manuel Boucher, Mohamed Belqasmi, Régis Perret, Gérard Moussu), le sociologue Michel Chauvière et Stéphane Rullac, membre du Centre d’études et de recherches appliquées – ASH n° 2653 du 2-04-10, p. 28.

(2) Voir ASH n° 2725 du 23-09-11, p. 5.

(3) Intitulée « Savoirs professionnels, hautes écoles, universités : quelle légitimité pour la recherche en/dans/sur le travail social ? ».

(4) Avec l’Unaforis (Union nationale des associations de formation et de recherche en intervention sociale), le réseau documentaire Prisme (Promotion et rationalisation de l’information sociale, médico-psychologique et éducative), le Groupe Moniteur et Dunod.

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