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LE PREMIER « BAROMÈTRE DE LA COHÉSION SOCIALE » a été présenté le 28 septembre aux membres de l’Association des journalistes de l’information sociale par la direction générale de la cohésion sociale (DGCS) et le Crédoc (Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie), chargé de sa réalisation. La DGCS ayant souhaité connaître la perception et les attentes du public vis-à-vis de la « cohésion sociale », des questions spécifiques ont été insérées dans l’enquête « Conditions de vie et aspirations ». Résultats ? 78 % des Français sont en mesure de proposer spontanément une définition de la « cohésion sociale ». Alors que 83 % des Français la jugent faible, 57 % estiment qu’elle relève d’abord d’efforts individuels, 41 % des institutions. 65 % estiment néanmoins que les pouvoirs publics, et en premier lieu l’Etat, sont les mieux placés pour l’améliorer. Ils sont particulièrement attendus sur l’emploi (53 %), le logement (37 %) et l’éducation (25 %).

REVENU MINIMUM ÉTUDIANT (RME). Douze communes, parmi les 23 à avoir mis en place un tel dispositif, ont signé le 14 septembre un « Appel des villes engagées pour l’égal accès à la connaissance ». Une initiative lancée par la ville de Chenôve (Côte-d’Or) – la première à avoir créé, en 1989, un RME (de 420 € à 760 € par mois) – afin d’interpeller la classe politique.

« UN NOUVEAU MODÈLE DE SOCIÉTÉ » contre la pauvreté et les inégalités : c’est ce qu’a défendu le 28 septembre l’Association des maires de grandes villes de France, présidée par le premier magistrat de Grenoble, Michel Destot (PS), lors de sa XIe conférence des villes. Un manifeste, rendu public à l’issue des débats entre élus, experts et associations, propose de « placer au cœur du débat public » cinq thèmes prioritaires : la croissance, la pauvreté, la jeunesse, la politique de la ville et l’intégration. Le texte plaide pour la concrétisation en 2012 du projet d’agence de financement des collectivités locales, le renforcement des moyens des associations et des structures d’hébergement et une meilleure coordination des politiques interministérielles en faveur de la jeunesse. Autres revendications : faire de la politique de la ville une « priorité nationale » et obtenir « le principe d’un deuxième programme de rénovation urbaine ».

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