MAL-LOGEMENT. Au-delà des situations les plus flagrantes, le « mal-logement » n’a pour le moment aucune acception commune aux différents acteurs intervenant dans le domaine. A la demande du secrétaire d’Etat chargé du logement, le Conseil national de l’information statistique cherche, dans un rapport qu’il a finalisé en juillet dernier (disp. sur
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