La liste des centres de rétention administrative (CRA), fixée par arrêté, est retouchée. Ainsi, le centre de Metz-Queuleu (Moselle) fait désormais partie des structures placées sous la surveillance de la police nationale. Il était auparavant placé sous celle de la gendarmerie.
Autre nouveauté : les centres de Coquelles (Pas-de-Calais) et de Perpignan (Pyrénées-Orientales) ne sont plus autorisés à accueillir des familles, contrairement au CRA 2 du Mesnil-Amelot (Seine-et-Marne) et aux centres de Lyon (Rhône), Oissel (Seine-Maritime), Marseille (Bouches-du-Rhône), Metz-Queuleu (Moselle), Cornebarrieu (Haute-Garonne), Nîmes (Gard), Saint-Jacques-de-la-Lande (Ille-et-Vilaine), Hendaye (Pyrénées-Atlantiques) et du site 2 de Lesquin (Nord).