L'UNION EUROPÉENNE doit prendre en compte, dans sa réponse à la crise, les besoins des personnes en situation de pauvreté, défend EAPN (Réseau européen anti-pauvreté). Le réseau demande ainsi de mettre fin « aux coupes claires » exercées sur les subsides des organisations non gouvernementales alors même qu'elles sont confrontées à une demande croissante. Outre l'augmentation des minima sociaux au-dessus du seuil de pauvreté, il réclame également que l'Union reconnaisse que « l'investissement dans les systèmes de protection sociale et le respect des droits fondamentaux stimulent l'économie en soutenant la consommation ».
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