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L'architecture au service de l'action sociale

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La Cité de refuge, immense CHRS parisien construit dans les années 30 par Le Corbusier, incarne par ses choix architecturaux une certaine idée de la prise en charge. D'autres réalisations montrent que la conception des bâtiments influe sur la vie sociale des usagers et les pratiques. D'où l'intérêt de penser aussi le travail social à l'aune du bâti.

Un paquebot jeté au milieu d'un quartier en mutation. C'est ainsi qu'apparaît, dans le XIIIe arrondissement parisien, la Cité de refuge, l'un des plus grands centres d'hébergement et de réinsertion sociale (CHRS) de la capitale avec ses 215 places pour hommes. Fidèle à son ambitieux projet de refondation de la communauté humaine par l'architecture, Le Corbusier l'avait imaginée comme « une usine du bien-être ». « Aurait-on mis en oeuvre la même action sociale dans un autre bâtiment ? », s'interroge Laurent Desmarescaux, le directeur de la structure gérée par la Fondation Armée du Salut (1).

Inauguré en 1933, ce « phare qui éclaire la pauvreté » selon les termes de l'ethnologue Noël Jouenne, est un gigantesque bâtiment aux volumes simples dans lequel on retrouve toutes les obsessions du grand architecte : des espaces modulables à volonté ; des piliers qui remplacent les murs porteurs grâce à la technique du béton armé ; de larges façades vitrées ; des escaliers mis en scène par des jeux de couleur ; de la lumière, enfin, qui pénètre jusque dans les étages inférieurs. A l'époque, la prouesse technique, mise en valeur par la modernité de la façade de béton et de verre rehaussée de rectangles jaunes, rouges et bleus, est extraordinaire. Aujourd'hui encore, comme toutes les oeuvres de Le Corbusier, le bâtiment attire de nombreux visiteurs étrangers. L'architecte en aurait été comblé : il avait dès le départ voulu cette ouverture sur l'extérieur en imaginant une entrée massive pour accueillir les 500 à 600 personnes, prévues initialement - vagabonds, chômeurs, sans-domicile... -, en vue d'un hébergement, d'un repas ou d'une occupation pour les hommes désoeuvrés.

Pour faire fonctionner cette immense « machine à habiter », l'avant-gardisme architectural ne suffit pas. Dès l'origine, il s'est doublé d'une innovation sociale, le hall jouant le rôle d'une plate-forme de services d'orientation des personnes en fonction de leur demande et de leur besoin. Depuis, la Cité de refuge continue à faire dialoguer architecture et action sociale. En témoigne le vocabulaire des résidents, qui ne parlent pas d'étages mais de « plans ». Ces derniers ont d'ailleurs longtemps joué un rôle de marqueur social au sein de la communauté des « assistés » (terme utilisé à l'époque) - les « plans » supérieurs avec petits dortoirs et boxes étaient réservés à l'« élite des pensionnaires », rappelle Alain Vieulle, ancien salarié de l'établissement.

Mais c'est surtout par son gigantisme que la Cité de refuge frappe. « A mon arrivée, j'ai eu l'impression de pénétrer dans un labyrinthe », se souvient Iyob Eskender, qui réside dans le centre depuis 2006. Ce gigantisme induisit pendant longtemps des pratiques devenues anachroniques au regard de la loi 2002-2 : « Jusque dans les années 80, c'était l'établissement qui était au centre des préoccupations, pas l'usager, note Alain Vieulle. A tel point que, chaque matin, la Cité de refuge recensait les besoins du centre (un plombier, deux cuisiniers...) en fonction desquels étaient choisies les personnes qui faisaient la queue à l'entrée. Répondre à leurs problématiques individuelles ne venait qu'en second. »

En outre, selon un modèle qu'il affinera à Marseille avec la Cité radieuse inaugurée en 1952, Le Corbusier avait imaginé un fonctionnement en autarcie - située au « plan » 8, une crèche était proposée pour les mères en activité. Ce qui n'était pas sans conséquence : « Un «assisté» n'était considéré comme réinséré qu'à partir du moment où il arrivait à subvenir à ses besoins au sein même de l'établissement, en travaillant dans les magasins de meubles par exemple (2) », raconte Pierre Allard, major de l'Armée du Salut. D'accompagnement vers la sortie, il n'était pas encore question.

Des espaces de rencontre

Aujourd'hui, les pratiques ont évolué parallèlement à la professionnalisation des équipes encadrantes. Mais l'espace, immense, est toujours là. Avec, pour l'équipe éducative, un défi de taille : comment allier quantité et qualité ? « La complexité du bâtiment, ses multiples couloirs et escaliers, ont l'avantage de laisser aux résidents une autonomie qu'ils n'auraient pas forcément ailleurs, assure Laurent Desmarescaux. Des petits groupes peuvent investir les espaces libres pour discuter, lire un journal, etc., ce qui n'est pas le cas dans la plupart des centres où chaque espace est dédié à une activité précise. » Absence de pointage et liberté de mouvements : la Cité de refuge apporterait-elle un démenti aux détracteurs de Le Corbusier, qui voient dans son architecture rationnelle une logique concentrationnaire ? D'autant que son créateur a pris soin de multiplier les espaces collectifs de sorte que la parole et la rencontre nourrissent le projet de l'établissement. « Héberger un être humain, ce n'est pas simplement lui donner un volume pour vivre, argumente Noël Jouenne. C'est aussi un contrat social qui organise la façon dont les gens vont vivre ensemble. » Et d'ajouter : « En créant des espaces de rencontre, Le Corbusier a permis de renouer du lien social. »

Directeur du programme « Exclusion » de la Fondation de l'Armée du Salut, Olivier Marguery rappelle que les CHRS doivent être des « lieux de socialisation, de bien-être, de vie collective, de restauration etd'accompagnement ». Si, à son époque, Le Corbusier a réussi ce pari, la même logique, appliquée aujourd'hui, ressemblerait « davantage à un empilement de cubes qu'à un espace structurant où il fait bon vivre » en raison de l'inflation normative et de la dérive sécuritaire. C'est pourquoi, défend Olivier Marguery, le secteur de l'action sociale doit trouver un langage commun avec les architectes pour réaliser des bâtiments qui répondent aux enjeux actuels du travail social et à la réglementation.

Ce dialogue, le directeur du programme « Exclusion » l'a noué avec Laurent Lacombe, de l'agence BLP Architectes, pour construire à Reims un nouveau CHRS de 93 places destiné à remplacer, en l'agrandissant de dix places, l'ancien centre vieillissant. Après une première esquisse à titre gracieux en 2004, le projet a été plusieurs fois remanié pour tenir compte des coûts - finalement, les travailleurs sociaux seront deux par bureau -, des remarques des usagers et des salariés impliqués dans son élaboration et des normes réglementaires. Ces dernières donnent parfois lieu à des anecdotes cocasses, qui porteraient à sourire si elles ne ralentissaient pas considérablement les travaux : les opérateurs ont été dans l'obligation de motiver à deux reprises auprès de la direction départementale de l'équipement l'absence de programmation d'un large parking au motif que les sans-abri n'ont pas, sauf exception, de véhicules !

Le futur établissement de quatre étages, construit autour d'une galerie ouverte/ fermée donnant sur un jardin, « colonne vertébrale du projet », est prévu pour accueillir différents publics, notamment des familles. Il a donc fallu penser l'intégration de logements avec une entrée privée, par laquelle les enfants et leurs parents pourraient pénétrer sans passer par le hall collectif. De même, l'articulation CHRS/centre d'hébergement d'urgence a été pensée à partir de l'ouverture sur la rue, via un grand escalier ouvrant sur une terrasse. Le tout, de façon à ce que l'établissement soit « un bâtiment comme les autres, ouvert sur l'extérieur et dynamique », rapporte Olivier Marguery. « Si l'on n'y appose pas le sigle CHRS, personne ne pourra deviner que c'est un centre d'hébergement », se félicite Laurent Lacombe.

Banaliser les structures d'hébergement social, pourquoi pas ? Mais cette ambition n'est-elle pas incompatible avec un grand nombre de résidents ? La Cité de refuge qui accueille plus de 270 personnes - depuis que lui a été adjoint à la fin des années 70 le Centre espoir, centre d'accueil d'urgence de 58 places - ne dépasse-t-elle pas un seuil critique ? Pourquoi agrandir le centre d'hébergement de Reims ? « On était revenu à des structures à dimension humaine d'une vingtaine de places. Or on recrée des grosses structures dont le seul intérêt est d'être plus rentable », déplore un directeur de CHRS à Meaux. « Actuellement, le seuil de rentabilité d'un centre tourne autour de 70 à 80 places en fonction du prix du foncier, reconnaît Olivier Marguery. Pour notre part, nous faisons le choix de continuer à construire des CHRS plutôt que des hébergements en habitat diffus pour favoriser ce qui nous semble fondamental, à savoir le vivre ensemble. »

Un cheminement conjoint

Dans cette optique, Le Corbusier a ouvert la voie à un cheminement conjoint de l'architecte et du travailleur social et amorcé, à partir de la Cité de refuge, une réflexion sur la relation entre l'espace et l'accompagnement social, transposable ailleurs.

Quantité d'exemples montrent d'ailleurs qu'il suffit parfois d'un simple aménagement intérieur pour modifier les pratiques. Dans un foyer de jeunes travailleurs parisien, le remplacement d'une cantine collective par une cuisine à chaque étage, avec réfrigérateur à casiers individuels et plaques électriques, a amené l'équipe éducative à réfléchir à l'hygiène alimentaire et à proposer des cours de diététique afin de favoriser l'autonomie du public. A Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), la pérennisation d'un service d'hébergement d'urgence pour les sans-abri, également accueil de jour et service de domiciliation, a été l'occasion de travailler avec un cabinet d'architectes à la façon la plus adaptée d'accueillir le public. Géré par le centre communal d'action sociale de la ville, cet ancien hôtel, vétuste et contaminé au plomb, méritait une rénovation complète pour améliorer les conditions de vie des résidents, différencier nettement accueil de jour, hébergement et domiciliation et s'ouvrir à des publics nouveaux - les femmes avec enfants notamment. « Les architectes ont eu l'idée de créer une entrée large et lumineuse, avec un plafond haut, pour rassurer les bénéficiaires, dont beaucoup étaient des jeunes habitués aux squats, explique Jean-Yves Rampant, aujourd'hui chef de service au Palais du Peuple, un CHRS de l'Armée du Salut. Ensuite seulement, ils pouvaient avancer vers la pièce du fond, plus basse de plafond, puis éventuellement être orientés vers les espaces plus petits et plus confidentiels, impliquant davantage d'intimité, que sont les bureaux. » Dans le même esprit, le choix des matériaux n'a pas été laissé au hasard : bois et zinc ont été choisis pour obtenir une impression de chaleur et de convivialité, renforcée par des couleurs chaudes.

Au-delà des personnes sans domicile, d'autres publics sont concernés par les partis pris architecturaux. Les personnes âgées (voir encadré, page 35), mais aussi les personnes handicapées ou malades mentales, comme les autistes. Plutôt que de reproduire de grands espaces de vie tels qu'ils existaient dans les constructions des années 70, particulièrement anxiogènes pour ces individus dont les notions de dedans et de dehors sont insuffisamment acquises, ce sont désormais de petites unités de vie favorisant les transitions fluides entre les différents espaces, avec des seuils et des possibilités de retraits, qui sont favorisées. « Alors que la tendance est aujourd'hui à la souplesse et aux dispositifs modulaires qui permettent des transformations à moindre coût au gré des évolutions réglementaires et des changements de projets de soin, les autistes ont au contraire besoin d'un environnement stable pour se risquer à aller vers l'autre », précise Stéphan Courteix, docteur en psychologie et architecte DPLG à Atis Phalène, une société qui propose son expertise architecturale auprès des acteurs du secteur médico-social (3). Pas question dès lors pour ce public de faire coulisser une cloison pour transformer un petit salon en grande salle des fêtes : la nouveauté apparaîtrait comme une menace pour leur intégrité.

Rien n'empêche néanmoins qu'un bâtiment se transforme, si c'est dans le respect des personnes qu'il héberge : « La volonté du concepteur est certes fondamentale, mais la société évolue et nous devons nous adapter », commente Laurent Desmarescaux à propos de La Cité de refuge. A l'image des aménagements en cours dans les autres établissements, il n'est pas question de la figer dans le marbre - la plupart des oeuvres de Le Corbusier ont d'ailleurs subi des modifications importantes. Dans les années 30, les dortoirs étaient la norme. Ce n'est plus le cas. Une étude architecturale est donc en cours à la Cité de refuge pour offrir plus de confort aux résidents avec davantage de chambres individuelles et pour effectuer des mises aux normes de sécurité.

L'estampille « Le Corbusier » ne facilite toutefois pas la tâche. Certaines parties du site - la façade notamment - sont classées, donc intouchables. Imagine-t-on des chambres sans fenêtre ? Sans compter que le bâtiment devrait prochainement être classé au patrimoine mondial de l'humanité (4). Preuve que l'action sociale et l'architecture sont désormais intimement mêlées, mais étonnant paradoxe pour Noël Jouenne : « «Patrimonialiser» ce qui montre les défauts de notre société - à savoir un centre d'hébergement pour les sans-abri - signifierait-il que la pauvreté est entrée définitivement dans les moeurs ? »

UNE BIENFAITRICE : LA PRINCESSE DE POLIGNAC

La Cité de refuge, telle qu'elle a été conçue, n'aurait sans doute pas vu le jour sans la princesse Singer de Polignac, mécène du monde des arts et des lettres, et amie de Le Corbusier. Pour financer la construction du bâtiment, l'Armée du Salut avait, en effet, lancé un appel à contribution public. Selon Brian Trace Taylor (5), plus de 20 000 donateurs apportèrent 500 000 francs de l'époque. Mais le projet ne démarra qu'après la promesse de don de 1 800 000 francs faite par la princesse de Polignac... qui déboursa finalement 3 millions de francs. C'est elle aussi qui avait imposé l'architecte. L'édifice fut donc inauguré, le 7 décembre 1933, sous le nom de « Refuge Singer-Polignac » par le président Albert Lebrun. D'ailleurs, il reste dans le bâtiment une chambre, appelée « Chambre de la Princesse », qui possède un cabinet de toilette privé. La légende prétend qu'elle y logeait quand elle venait dans l'établissement...

DES BÂTIMENTS POUR BIEN VIEILLIR

Le secteur de la gérontologie a entamé une réflexion sur les problématiques architecturales, qui dépasse le cadre de l'accueil des personnes âgées. Peut-on encore, dès lors que la personne est amenée à vivre durablement dans son nouveau lieu de vie (ici, la maison de retraite), parler d'« hébergement » et de « résidents » ? Ne vaudrait-il pas mieux utiliser les décli-naisons du verbe « habiter » (habitant, habitation...), porteur d'un investissement spatial plus important ? Par ailleurs, comment concilier besoin d'intimité et de relations sociales - « d'indépendance dans la relation d'être aidé » comme l'écrit Geneviève Laroque (6) ?

Respecter l'usager

« L'architecture doit être inventive. On sait aujourd'hui qu'il faut respecter des lieux d'intimité, des espaces de rencontre un peu protégés et des espaces de vie collective où se rythme la journée », avancent, pour leur part, Colette Eynard, consultante en gérontologie sociale, et Didier Salon, architecte (7). Or, d'un côté, il arrive que la conception de la chambre, lieu privé par excellence, facilite l'intrusion du personnel de la maison de retraite, qui ne prend parfois même plus la peine de frapper. Et de l'autre, des espaces destinés à la vie collective sont agencés de telle sorte qu'ils découragent toute relation sociale - quelques chaises alignées dans un couloir pour attendre le repas par exemple.

Comme dans d'autres secteurs de l'action sociale, exigences techniques et fonctionnelles, ainsi que respect des normes, priment souvent sur les valeurs portées par l'établissement et sur le cadre de vie qu'il souhaite proposer aux personnes. Pour réussir à prendre en compte les différentes logiques - technique, budgétaire, liée à l'histoire du lieu, à son environnement géographique ou aux aspirations des habitants -, la concertation avec les résidents et les professionnels est incontournable, de même que la prise en compte des usages. « A qui pourrait servir un espace qui ne serait que l'enveloppe déshumanisée de pratiques professionnelles qui ne tiendraient pas compte des attentes des personnes qui y vivent ? », se demandent Colette Eynard et Didier Salon.

C'est pourquoi il faut laisser les gens s'approprier l'espace, plutôt que leur imposer des lieux aux fonctions prédéfinies et immuables. Est ainsi mise sur la table « la capacité des institutions à admettre un certain désordre, qu'elles risquent de ne pas pouvoir contrôler, et une absence d'uniformité dans les prestations, y compris architecturales et techniques ». Pour favoriser une appropriation individuelle de l'espace, les deux professionnels proposent « un travail sur la lumière, les vues intérieures et extérieures, les différences d'ambiance, les possibilités de s'approprier ou de décorer différemment tel renfoncement près d'une fenêtre, telle intersection de deux circulations ».

Selon l'architecte et la consultante, « un espace structurant est un espace où tout n'est pas figé » : un pilier va servir de dossier à une personne assise, puis, un peu plus tard, de paravent pour converser de façon plus intime avec d'autres résidents. Et les auteurs soulignent l'importance des points stratégiques. Car « les relations se nouent plutôt sur les paliers, dans les circulations, dans certains renfoncements près des fenêtres, à la porte de la salle de soin ou du bureau du directeur, et d'une manière générale là où il y a des gens à observer et des choses à voir ».

Eviter l'enfermement

En outre, les établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes doivent être particulièrement attentifs aux liens noués avec leur environnement afin de ne pas s'enfermer « dans une bulle stérile, objets fonctionnels coupés de leurs racines et de leur signification symbolique dans la ville ou le village ». A ce titre, l'emplacement de l'entrée est fondamental. Qu'elle tourne le dos au quartier et c'est un message de fermeture qui est proposé aux habitants du lieu. Plus précisément, le hall d'entrée « devrait avoir pour fonction de présenter l'espace de l'établissement à ses futurs usagers, de rendre clairs les liens entre les différents types d'espaces, en ménageant des vues partielles sur les espaces collectifs et les bureaux, en donnant à voir les signes, mêmes ténus, qui permettront de situer les gens et les choses ». C'est à ces conditions seulement que les personnes accueillies pourront réellement investir les lieux, plutôt que les subir. Pour l'architecte et ses commanditaires, le pari consiste alors à penser des espaces qui soient « plus proches de notre imaginaire d'habitant que d'usagers d'établissements, des lieux utiles à soi, des lieux qui seraient plus «empathiques», évocateurs, émouvants et tout aussi discrets que techniquement confortables et fonctionnels ».

C. S.-D.

Notes

(1) Lors du colloque « Bâtir pour reconstruire » organisé par la Cité de refuge le 4 décembre 2008 à l'occasion des 75 ans de l'établissement.

(2) A l'époque, la Cité de refuge organisait un ramassage de meubles, qui étaient restaurés par les résidents avant d'être revendus.

(3) www.atis-phalene.fr.

(4) La décision définitive sera prise en juin 2009.

(5) Le Corbusier : Paris 1929-1933 - Ed. L'Equerre - Paris, 1981.

(6) Gérontologie et Société n° 119 - Décembre 2006.

(7) In Architecte et gérontologie. Peut-on habiter une maison de retraite ? - Ed. L'Harmattan, 2006.

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