LA FN3S s'interroge, après les assistants sociaux de l'Education nationale (voir ASH n° 2594 du 30-01-09, page 20), sur la pertinence des 5 000 « médiateurs de réussite scolaire ». Ne serait-il pas préférable de maintenir les postes des travailleurs sociaux intervenant en investigation dans le secteur associatif (voir ASH n° 2593 du 23-01-09, page 29) ?, demande la fédération. Ceux-ci ont, entre autres, pour mission la prise en compte de la rupture scolaire. Alertés par l'Education nationale de l'absentéisme d'un jeune, les juges des enfants mandatent en effet les services publics ou associatifs pour effectuer un bilan de sa situation. « S'il suffisait d'aller vers le mineur pour qu'il accepte de retourner en classe, il y a longtemps que le problème serait réglé »...
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