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Un tiers des Rased (réseaux d'aides spécialisées aux élèves en difficulté) pourrait être supprimé, selon le SNUipp-FSU. Près de 500 enseignants se sont réunis, le 4 novembre, devant l'Assemblée nationale, jour de l'examen par les députés du budget 2009 de l'Education nationale, à l'appel de trois associations professionnelles (Fnarem, Fnaren et Afpen) et de plusieurs syndicats. Ils dénoncent la suppression de 3 000 postes d'enseignants (sur 11 000) intervenant au sein de ces réseaux au motif que seuls 5 % d'élèves en échec scolaire (sur les 15 %) seraient accompagnés. Un chiffre qui, pour les maîtres spécialisés, prouve au contraire qu'ils ne sont pas assez nombreux. Pour les syndicats, 150 000 enfants vont être ainsi privés d'une aide spécialisée.

La médecine scolaire ne figure pas dans le périmètre des ARS (agences régionales de santé) créées par le projet de loi « Hôpital, patients, santé, territoires ». C'est l'un des regrets de l'AIRe (Association des instituts thérapeutiques éducatifs et pédagogiques) qui précise que cette inscription, même si la médecine scolaire reste gérée par l'Education nationale, « permettrait à ses personnels d'être en lien plus étroit avec les médecins de pédopsychiatrie et du médico-social ». Tout comme l'Unasea, elle rejoint les inquiétudes des acteurs du social et du médico-social sur l'absence de représentation des associations gestionnaires au conseil de surveillance des ARS et sur la mise en place d'appels d'offres avant toute création de structures (voir ASH n° 2579 du 31-10-08, page 31).

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