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Le Conseil national des associations de protection de l'enfant (CNAPE) succède à l'Unasea (Union nationale des associations de sauvegarde de l'enfance et de l'adolescence). Soixante ans après sa création, celle-ci a, en effet, modifié ses statuts pour élargir son conseil d'administration à sept autres mouvements et associations (A domicile fédération nationale, ANPF, Cnaemo, FENAAH, CNDPF, FN3S) qui conservent leur identité. Tout en restant une fédération des associations dans le champ de la protection de l'enfance, la nouvelle organisation entend, avec ses partenaires, « renforcer l'identité associative, politique et technique, valoriser les interventions et les innovations des acteurs du champ de la protection de l'enfance, du handicap et de l'insertion et constituer un pôle fédéral référent en faveur des enfants et des familles ». Cette évolution était déjà envisagée par l'Unasea lors de la création, fin 2005, de la Coordination nationale des associations de protection de l'enfance puisque l'idée était de parvenir à une structure représentative de la protection de l'enfance.

« Un droit opposable à l'alimentation », c'est ce que réclame Jean-François Mattei, président de la Croix-Rouge française, pour faire face à l'explosion des prix des denrées de base. Avec une enveloppe budgétaire des aides européenne et française sensiblement identique et une hausse des prix d'environ 10 %, l'association estime qu'elle ne pourra offrir que 27 millions de repas en 2008 (contre les 30 millions distribués chaque année). Cette situation est d'autant plus problématique que l'émergence de nouvelles populations frappées par la précarité (jeunes, personnes âgées, travailleurs pauvres) entraîne un accroissement de la demande estimé entre 5 et 10 %. Par ailleurs, la hausse des prix risque de retentir sur la qualité et la diversité des produits.

La « maison à 15 € par jour » ne trouve pas grâce aux yeux de la CNL (Confédération nationale du logement) et de la CLCV (Consommation, logement et cadre de vie), qui représentent les locataires. Elles dénoncent le manque de prise en compte des charges supplémentaires forcément induites pour l'acquéreur (taxe foncière, facture énergétique, entretien...), le taux d'effort demandé aux ménages disposant de revenus nets mensuels compris entre 1 500 et 2 000 (25 % selon la CLCV) et la longueur de la durée d'emprunt, avec un système de sécurisation jugé insuffisant. Elles estiment que cette mesure ne répond pas aux enjeux réels de la politique du logement.

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