Le conseil général a des compétences importantes dans le champ du handicap, rappelle l'APF (Association des paralysés de France), qui interpelle les candidats aux élections cantonales avec six questions sur le fonctionnement des maisons départementales des personnes handicapées, le financement des moyens de compensation, le réseau des établissements et services médico-sociaux, la mise en accessibilité des transports et des lieux publics, le développement de l'emploi des personnes handicapées ou encore la nécessité d'un « réflexe handicap » qui devrait irriguer de manière transversale toutes les politiques départementales.
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La commune aussi a des responsabilités déterminantes par rapport aux personnes handicapées. La FNATH (l'Association des accidentés de la vie) souffle les questions à poser aux candidats aux élections municipales : sur la mise en place de la commission d'accessibilité et du plan d'action en la matière, sur le soutien apporté à l'accueil des enfants handicapés à l'école et dans les activités périscolaires et extrascolaires, sur le respect de l'obligation d'emploi de fonctionnaires handicapés et, plus généralement, sur l'accompagnement des personnes en difficulté sociale.
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Les aidants familiaux qui interviennent auprès des personnes âgées sont des femmes dans plus de six cas sur dix - les hommes s'impliquent néanmoins davantage qu'avant - et leur âge moyen se situe entre 55 et 60 ans, confirme une série d'enquêtes menées par les UDAF (Union départementale des associations familiales). Une condition : la proximité. 68 % des aidants des personnes à domicile habitent à moins de 5 km, 17 % pour les résidents en maison de retraite. Plus de la moitié des personnes à domicile bénéficient également de l'aide de professionnels, souvent chargés du ménage et de la toilette, tandis que la gestion des affaires courantes reste plutôt à la famille. Les attentes des aidants portent avant tout sur l'augmentation du nombre de professionnels à domicile, devant la création de places en maison de retraite et le développement des solutions de répit.
« Vivre la dépendance d'un proche : l'avis des familles » - Réseau national des observatoires des familles - Disponible sur
« Le Guide de Paris accessible » vient de sortir. La première destination touristique de France offre de nombreuses possibilités de découverte aux personnes handicapées. Le rédacteur, en fauteuil, a testé l'ensemble des lieux évoqués mètre en main, et cote de 1 à 4 les difficultés rencontrées. Des notes signalent aussi les services proposés aux personnes ayant un handicap visuel, auditif ou mental. De quoi préparer son voyage ou sa sortie et éviter les mauvaises surprises. L'ouvrage est le deuxième d'une collection appelée à s'étendre, le premier étant consacré à la Bretagne.
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Le traumatisme crânien a de nombreuses conséquences sur la vie quotidienne du blessé lui-même et de toute sa famille. Comment faire face aux séquelles et aux troubles du comportement ? Quelles démarches faut-il entreprendre pour faire reconnaître le handicap ? pour obtenir une aide à domicile ? pour trouver un établissement spécialisé ? pour placer l'intéressé sous tutelle ? Un guide pratique, réalisé sous la direction d'Hélène Oppenheim-Gluckman, répond aux questions des proches mais aussi à celles des professionnels amenés à intervenir.
Vivre au quotidien avec un traumatisé crânien -Edition du CTNERHI : 236, rue de Tolbiac - 75013 Paris - Tél. 01 45 65 59 00- w