La scolarisation des enfants handicapés moteur fait l'objet d'une « veille téléphonique » jusqu'au 21 septembre à l'Association des paralysés de France. Les conditions d'accueil de cette rentrée, l'application du projet personnalisé de scolarisation, le rôle effectif des enseignants référents, le nombre des auxiliaires de vie scolaire et la qualité de l'accompagnement, enfin l'information et la formation des enseignants font l'objet d'une attention particulière.
Tél. 01 45 80 17 17, de 10 à 18 heures du lundi au vendredi, ou courriel à :
La diminution des emplois aidés annoncée par le gouvernement (voir ce numéro, page 6) inquiète l'AD-PA (Associa-tion des directeurs au service des personnes âgées), qui demande à Xavier Bertrand et Valérie Létard, chargés de la solidarité, de « défendre la situation particulière des structures pour personnes âgées ». Dans « un secteur connu pour son manque chronique de personnels », l'association veut avant tout des moyens pour recruter avec des contrats durables. Mais dans l'attente d'une prise en compte des besoins, « les contrats aidés, souvent affectés à des fonctions de ménage ou de restauration, permettent de desserrer l'étau budgétaire et d'accompagner moins mal les personnes âgées ».
Les personnes vulnérables, leur entourage et les professionnels sont souvent perdus face à la multiplicité des textes qui encadrent, dans le domaine médical, la délivrance de l'information et la recherche du consentement aux soins. L'Assistance publique-Hôpitaux de Paris, l'Unapei, France Alzheimer et l'Association nationale des juges d'instance ont uni leurs compétences pour exposer l'ensemble des règles de droit applicables aux mineurs, aux majeurs protégés et aux personnes hors d'état de manifester leur volonté.
Personnes vulnérables et domaine médical. Quels sont leurs droits ? - Téléchargeable sur
Les 1 135 unités spécifiques Alzhei-mer au sein des établissements d'hébergement pour personnes âgées font l'objet d'une étude de la Fondation Médéric Alzheimer. Celle-ci s'intéresse aux aménagements particuliers (espaces de marche, signalétique...), aux activités proposées (musique, stimulation cognitive...), à l'adaptation aux habitudes des résidents (par rapport au lever et au coucher notamment). Si 57 % des établissements ont repéré des améliorations à adopter sur ces points, seuls 26 % ont eu les moyens de les réaliser.
La Lettre de l'Observatoire des dispositifs de prise en charge et d'accompagnement de la maladie d'Alzheimer n° 3 - Disponible sur