De nouveaux centres de rétention administrative font leur apparition à Nîmes (Gard), Metz-devant-les-Ponts (Moselle) et Saint-Jacques-de-la-Lande (Ille-et-Vilaine). Le premier est placé sous la surveillance de la police, les deux autres sous celle de la gendarmerie nationale.
Tous trois sont autorisés à accueillir des familles, à l'instar des centres de Coquelles (Pas-de-Calais), Satolas (Rhône), Plaisir (Yvelines), Oissel (Seine-Maritime), Marseille (Bouches-du-Rhône), Cornebarrieu (Haute-Garonne) et du site 2 de Lesquin (Nord).
A noter : le centre situé à Hendaye (Pyrénées-Atlantiques), actuellement en reconstruction, disparaît de la liste des centres de rétention administrative, qui en comprend désormais 26.