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11 milliard d'euros, c'est le coût des allégements de charges sociales et fiscales annoncés par le gouvernement, soit l'équivalent de la contribution de l'assurance maladie au secteur médico-social prévue pour 2007 (hors financement de la CNSA), souligne l'Uniopss. Une diminution des ressources publiques d'autant plus difficile à accepter, ajoute-t-elle, que la dette de l'Etat aux associations en matière de protection judiciaire de la jeunesse atteint plus de 55 millions d'euros, qu'il manque 20 millions d'euros pour financer les CHRS (centres d'hébergement et de réinsertion sociale), que les personnels pour assurer les soins des personnes âgées et les réponses adaptées pour les adultes handicapés sont insuffisants, etc. L'Uniopss demande que le secteur sanitaire et social soit considéré comme une priorité budgétaire pour le quinquennat.

L'évaluation des établissements et services sociaux et médico-sociaux ne peut être faite uniquement sur des critères techniques, estime la commission protection de l'enfance de la Fédération de l'entraide protestante. « Le fait associatif n'est pas pris en considération dans les récents décrets qui régissent l'évaluation interne et externe (voir ASH n° 2509 du 25-05-07, page 15). Le mot même d'association n'apparaît jamais, comme si l'acte éducatif pouvait être dissocié du projet associatif et comme si l'établissement n'était qu'un prestataire de services assujetti à une politique largement définie ailleurs », regrette Lluis Caballé, responsable du dossier « protection de l'enfance ».

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