Justice. En lien direct avec la lutte contre la récidive, Rachida Dati a indiqué le 13 juin en conseil des ministres qu'elle avait aussi préparé un projet de loi qui rendrait obligatoire l'injonction de soins - aujourd'hui facultative - pour les personnes condamnées pour des infractions graves et notamment sexuelles (homicide, tous crimes ou délits sexuels, enlèvement et séquestration, pédopornographie, corruption de mineurs...). Elle a par ailleurs annoncé que la question des peines alternatives à la prison serait ouverte d'ici à la fin de l'année (développement du bracelet électronique, centres de semi-liberté, placements extérieurs et développement des hôpitaux-prisons).
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