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...et à ceux de la protection judiciaire de la jeunesse

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Les personnels de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) peuvent percevoir, dans la limite des crédits disponibles, une indemnité de risques et une prime de sujétions spéciales, dont les montants sont également revalorisés rétroactivement au 1er janvier 2006.

Le montant de ces avantages - payables mensuellement à terme échu - peut être modulé en fonction, d'une part, de l'importance des sujétions auxquelles le bénéficiaire est appelé à faire face dans l'exercice effectif de ses fonctions et, d'autre part, de la manière de servir de l'agent. Le montant de l'indemnité ou de la prime peut désormais varier :

entre 80 % et 150 % des montants de référence annuels, fixés respectivement à 3 450 € et 4 787 € pour les psychologues d'une part, et les chefs de service éducatif et les éducateurs de la PJJ, d'autre part ;

entre 100 % et 150 % du montant de référence annuel, fixé à 2 500 € en particulier pour les agents spécialistes et techniques d'éducation de la PJJ.

Les stagiaires bénéficient seulement de l'indemnité de risques au prorata du temps passé en stage pratique dans les établissements et le services de la PJJ.

Enfin, en cas de vacance d'emploi ou d'absence pour une durée égale ou supérieure à un mois, l'agent assurant l'intérim peut se voir attribuer, proportionnellement à la durée de l'intérim, l'indemnité de risques et la prime de sujétions spéciales allouée à la fonction exercée.

(Décret n° 2006-1335 et arrêté du 3 novembre 2006, J.O. du 4-11-06)

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