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Inclusion et protection sociale. Lors de sa séance du 7 septembre, le Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale (CNLE) a émis un avis positif sur le rapport national de stratégie pour l'inclusion sociale et la protection sociale (RSIS) (ex-PNAI), qui doit être présenté par le gouvernement à Bruxelles en octobre prochain. Bernard Seillier, président du CNLE, s'est réjoui de la présence d'« éléments positifs et mobilisateurs de nature à intéresser nos partenaires européens au travers notamment de fiches de bonnes pratiques (habitat indigne, égalité hommes/femmes, politique de la ville...) ». Les membres du conseil ont toutefois regretté que ce document n'ait pas été l'occasion d'introduire des « mesures nouvelles, notamment en matière de construction de logements très sociaux ». Ils ont en outre demandé au Premier ministre que le RSIS revienne plus en détail sur leurs remarques relatives à la prévention, sur les difficultés d'accès aux soins ainsi que sur la situation particulière des travailleurs pauvres et des départements d'outre-mer au regard de la pauvreté et de l'exclusion sociale.

Chèque transport. « Tous ceux qui sortent tard du bureau, tous ceux qui partent tôt le matin au travail et pour qui il n'y a pas de moyens de transports collectifs disponibles, doivent aussi pouvoir bénéficier du chèque transport » (voir ASH n° 2467 du 1-09-06, page 12), a précisé le 15 septembre Dominique de Villepin en clôturant un colloque sur le thème : « La bataille pour l'emploi : quel bilan un an après ? » Cette extension du dispositif aux transports individuels pour les salariés qui travaillent en horaire décalé avait été proposée par les partenaires sociaux. Elle sera intégrée dans le projet de loi pour le développement de la participation et de l'actionnariat salarié qui doit être examiné en séance publique à l'Assemblée nationale à partir de la première semaine d'octobre.

Carte scolaire. Pressé par Dominique de Villepin de rouvrir l'épineux dossier de la carte scolaire, le ministre de l'Education nationale a entamé le 20 septembre des consultations avec notamment l'ensemble des partenaires sociaux, les parents d'élèves, les maires, les régions et les départements. Gilles de Robien n'exclut pas d'aménager la carte, en assouplissant les règles actuelles d'affectation, mais se refuse à la supprimer.

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