Recevoir la newsletter

En revues

Article réservé aux abonnés

Hôtels meublés vétustes, immeubles insalubres ou fortement dégradés... Les occupants de ces logements indignes sont souvent victimes d'exclusion : personnes titulaires de pension d'invalidité, salariés pauvres ou précaires ou encore bénéficiaires de minima sociaux. Les réponses à ces « situations extrêmes de mal-logement » sont souvent difficiles à mettre en oeuvre, tant en raison de l'inertie des propriétaires que de l'absence de dispositifs nationaux réellement efficaces. Les associations, quant à elles, prônent souvent l'implication des bénéficiaires dans la démarche (telle que l'auto-réhabilitation), mais elles demeurent insuffisamment soutenues par les politiques publiques. « Recherche sociale » revient sur cette question complexe, croisant enquêtes et analyses.

« Intervenir sur les situations extrêmes de mal-logement » - N° 178 - Avril-Juin 2006 - FORS-Recherche sociale : 48, rue des Petites-Ecuries - 75010 Paris - Tél. 01 48 24 79 00 - 11 € .

LE SOCIAL EN ACTION

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur