Recevoir la newsletter

En bref

Article réservé aux abonnés

A Domicile Fédération nationale, qui a tenu sa première assemblée générale le 22 juin, s'inquiète « de l'absence de visibilité sur les conditions de la mise en oeuvre de la procédure d'agrément des services à la personne » et de la non-réponse à ses interpellations de l'Agence nationale des services à la personne, dont elle juge qu'elle « fonctionne en vase clos et peine à réguler le rôle des délégués territoriaux ».

Nouvelle feuille de route pour la FNATH (l'association des accidentés de la vie), qui s'est réunie en congrès à Arles du 22 au 24 juin. Celle-ci reprend ses revendications prioritaires : garantir « la bonne application » de la loi « handicap », obtenir un revenu d'existence égal au SMIC net pour les personnes invalides ou handicapées dans l'incapacité de travailler, lutter contre les discriminations sur critères de santé et de handicap, mettre en oeuvre une protection sociale universelle, réformer l'indemnisation des victimes des accidents du travail, instituer un nouveau dialogue social.

La Fagerh (Fédération des associations gestionnaires et des établissements de réadaptation pour handicapés) a signé, le 22 juin, un accord de partenariat avec l'Association pour la formation professionnelle des adultes. Ce texte vise à renforcer l'accompagnement vers l'emploi des personnes handicapées, en particulier en favorisant la diffusion de l'information en matière de formation professionnelle au sein des maisons départementales des personnes handicapées.

Deux résolutions ont été adoptées à l'unanimité au congrès de la Fédération des personnels des services des départements et des régions-FO, qui s'est tenu à Lyon du 12 au 16 juin. L'une appelle à « défendre les services et travailleurs sociaux et médico-sociaux » : « Ce ne sont ni le secret professionnel, ni les ordonnances de 1945 relatives à la protection judiciaire de la jeunesse, ni les méthodes d'intervention des travailleurs sociaux et médico-sociaux qui favorisent le développement de la délinquance », souligne le syndicat, qui demande des droits et des moyens pour les professionnels. L'autre résolution réclame « un vrai statut » pour les 35 000 assistants familiaux employés par les départements au motif que la loi du 27 juin 2005 n'a pas résolu « les problèmes principaux » rencontrés par ces agents.

LE SOCIAL EN ACTION

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur