Violences scolaires. Une présence policière (ou de la gendarmerie) à l'école, la solution pour endiguer les violences de ces dernières semaines ? Le ministre de l'Education nationale, en tout cas, le pense :interrogé par la sénatrice (UMP) de la Loire-Atlantique, Monique Papon, lors de la séance de questions au gouvernement du 26 janvier, Gilles de Robien s'y est déclaré « favorable, si le chef d'établissement le demande ». Il l'a redit avec force le lendemain, alors qu'il visitait une école londonienne dotée d'un policier. « Nous sommes venus chercher des idées et valider certaines que nous avons eues », a-t-il expliqué à son arrivée sur le sol britannique. La mesure devrait figurer dans le plan contre la violence à l'école que le ministre présentera « dans quelques semaines ».
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