Quoique venus travailler pour une période a priori provisoire, nombre d'immigrés restent en France la retraite venue et sont confrontés à un grand isolement. Faut-il aller à leur rencontre dans les lieux où ils vivent ou les amener coûte que coûte dans les structures de droit commun ? Faut-il les prendre en compte d'abord comme sujets âgés ou immigrés ?Qui est le plus légitime pour agir ? Des questions débattues le 27 janvier 2005 à l'IRTS de Montrouge.
« Vie sociale » n° 3/2005 - Cedias : 5, rue Las Cases - 75007 Paris - Tél.01 45 51 66 10 - 15 €.