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La FEHAP (Fédération des établissements hospitaliers et d'assistance privés à but non lucratif) s'associe au recours déposé par sept organisations contre l'arrêté de tarification du 31 janvier 2005, qui ouvre indirectement aux structures privées à but lucratif la faculté de disposer de structures alternatives à l'hospitalisation en psychiatrie (voir ASH n° 2397 du 4-03-05).

Plus de 160 000 Européens sont privés de leurs droits fondamentaux, notamment celui de choisir où ils veulent vivre parce qu'ils ont un handicap mental, a affirmé, lors d'une conférence qui s'est tenue à Prague du 19 au 21 mai, l'organisation Inclusion Europe. Rassemblant des membres dans 35 pays d'Europe, cette dernière défend les personnes handicapées mentales et rappelle que ce droit au choix est inscrit dans le projet de traité constitutionnel.

Inclusion Europe : galeries de la Toison d'or - 29, chaussée d'Ixelles 393/32 - B-1050Bruxelles - Tél.00 322 502 28 15 -www.inclusion-europe.org.

Les personnes atteintes de déficience visuelle (de moins de 60 ans) sont l'objet d'un « dossier professionnel documentaire » en deux volumes du CTNERHI (Centre technique national d'études et de recherches sur les handicaps et les inadaptations). Celui-ci rassemble des travaux d'études, des articles et des éléments bibliographiques concernant ce handicap, sa prise en charge, l'intégration des personnes, l'apport des nouvelles technologies et des aides techniques.

CTNERHI : 236 bis, rue de Tolbiac - 75013 Paris -Tél. 01 45 65 59 00 - 14,50 € le volume.

La précarisation des jeunes nécessite une « réelle stabilité des moyens d'action des missions locales et des permanences d'accueil, d'information et d'orientation », estime la Fédération nationale de l'action sociale (FNAS) -FO, après la signature du protocole 2005 traçant la nouvelle feuille de route du réseau des missions locales (voir ASH n° 2407 du 13-05-05). Le syndicat dénonce un décalage entre, d'une part, ces orientations et, d'autre part, l'absence de moyens des missions locales et la dégradation de leurs conditions de travail. Il demande notamment une augmentation substantielle des salaires, une actualisation de la grille de classification du personnel et la revalorisation de leurs compétences.

L'UGSP-CGT (Union générale des syndicats pénitentiaires) réagit à un article des ASH n° 2406 du 6-05-05, qui présente le Syndicat national de l'ensemble des personnels de l'administration pénitentiaire (Snepap) -FSU comme « majoritaire parmi les agents d'insertion et de probation ». Elle rappelle que, selon les élections professionnelles de 2002, la CGT est majoritaire parmi les conseillers d'insertion et de probation (38,47 %). Représentant en outre 49,47 % des assistants sociaux de l'administration pénitentiaire, elle l'est aussi parmi les travailleurs sociaux de l'administration pénitentiaire. En revanche, le Snepap est majoritaire chez les chefs de service d'insertion et de probation (68,97 %) et représente 35,7 % des conseillers d'insertion et de probation. Il peut donc s'estimer majoritaire dans la filière des personnels d'insertion et de probation.

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