Recevoir la newsletter

La mise en œuvre de la journée de solidarité dans les établissements à but non lucratif du secteur privé

Article réservé aux abonnés

La direction générale de l'action sociale précise, dans une circulaire, la procédure à suivre pour la mise en place de la journée de solidarité - prévue par la loi du 30 juin 2004 relative à la solidarité pour l'autonomie des personnes âgées et des personnes handicapées (1) - dans les établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux à but non lucratif du secteur privé. Rappelons que les employeurs doivent acquitter une contribution de 0,3 % (2) en contrepartie d'une journée supplémentaire de travail non rémunérée pour les salariés, contribution destinée à financer la caisse nationale de solidarité pour l'autonomie créée par la loi.

L'administration indique ainsi que les accords d'établissements relatifs à la mise place de cette journée de solidarité sont, à titre dérogatoire, « applicables d'office et ne doivent pas être soumis à l'agrément ministériel ». Ils devront donc être transmis à la direction départementale de l'emploi et de la formation professionnelle compétente.

(Note d'information DGAS n° DGAS/SD5/2005/71 du 17 février 2005)
Notes

(1)  Voir ASH n° 2365 du 25-06-04.

(2)  Sur le régime de cette contribution, voir ASH n° 2367 du 9-07-04 et n° 2377 du 15-10-04.

LE SOCIAL EN TEXTES

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur