24 % des adultes des zones urbaines sensibles (ZUS) ont effectué, au cours d'une année, une démarche auprès d'une caisse d'allocations familiales contre 12,6 % de l'ensemble des adultes métropolitains, selon la lettre électronique de la CNAF. Cet écart s'explique par les caractéristiques socio-démographiques des habitants de ces quartiers puisque 51,5 % d'entre eux perçoivent des aides au logement ou des prestations familiales, 14,2 % appartiennent à une famille monoparentale et 12,9 % à une famille nombreuse. Mais le fait d'habiter en ZUS n'accroît pas en soi la probabilité d'avoir recours à une caisse d'allocations familiales. L'e-essentiel n° 27 - Juillet 2004 - Contact :lucienne.
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