Alors que l'animation constitue une réponse privilégiée au développement ou au maintien de la vie sociale des personnes âgées et qu'elle a élaboré, au fil d'une décennie, ses propres méthodologies, ce secteur demeure mal identifié. Une sorte de flou entoure encore cette discipline qui ne peut plus se limiter à une succession d'activités occupationnelles, mais doit viser, à partir des besoins propres de chaque personne âgée, à l'accomplissement de soi et à la participation à la vie sociale. D'autant qu'avec l'arrivée du secteur commercial dans le champ gérontologique, l'animation est devenue « un enjeu stratégique de recherche de clientèle ».
Tel est l'état des lieux que dresse, Bernard Hervy, dans le rapport qu'il a remis, le 19 novembre, à Hubert Falco (1). C'est en janvier dernier que le secrétaire d'Etat aux personnes
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