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Décentralisation des formations : la CFDT Santé-sociaux vigilante

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Comment éviter que la décentralisation des formations sociales n'aboutisse à leur dérégulation ? Alors que le projet de loi sur les transferts de compétences doit être présenté le 1er octobre en conseil des ministres, les organisations du secteur continuent de réclamer des garde-fous. « La décentralisation devrait permettre de pallier les lourdeurs du pilotage national, de donner plus de transparence et de lisibilité aux circuits financiers, d'assurer une meilleure adéquation entre offres de formation et besoins en personnels qualifiés », estime, pour sa part, la CFDT Santé- sociaux (1), d'accord sur le principe. Mais encore faut-il, selon elle, que l'Etat reste garant de la cohérence et de l'égalité sur le territoire, « tant pour les quotas que pour les dotations aux instituts de formation et les aides financières aux étudiants ». Outre le maintien du schéma national des formations sociales qui a disparu du projet de loi, elle réclame donc des «  bases financières assainies » et des garanties sur la destination des ressources transférées aux régions, afin de préserver les conventions collectives et le statut des personnels.

Notes

(1)  CFDT Santé-sociaux : 47/49, avenue Simon-Bolivar - 75950 Paris cedex 19 - Tél. 01 56 41 52 00.

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