Une politique de l'adolescence dirigée d'abord vers les jeunes en souffrance « qui sont bien en amont de l'entrée en délinquance ». C'est ce qu'a plaidé la défenseure des enfants, Claire Brisset, le 2 septembre, lors de son entretien avec le ministre de la santé, Jean-François Mattei.
Un rapport - sévère - sur la détection et la prise en charge pédagogique et médicale des enfants dyslexiques ou présentant des troubles du langage a été, selon l'Agence France Presse, rédigé par l'inspection générale des affaires sociales et l'inspection générale de l'Education nationale. Daté de janvier 2002, il n'a pas été rendu public - et ne l'est toujours pas.