Mise au point de la Coorace

« Nous ne nous opposons pas à la Coorace. Mais nous ne nous reconnaissons pas dans cette instance qui ne regroupe qu'un quart des associations intermédiaires »   (AI), assénait l'Union nationale des associations intermédiaires  (UNAI), à l'occasion de sa création, le 23 mars dernier (1). « Cette affirmation est totalement erronée », rétorque la Fédération Coorace (2), précisant qu'elle compte, parmi ses adhérents, 375 des 911 associations intermédiaires qui existaient en décembre 2000, selon les services statistiques du ministère de l'Emploi et de la Solidarité, « soit un peu plus de 41 % ». Elle ajoute, par ailleurs, qu'elle « défend elle-même avec vigueur depuis 1998 les revendications [...] relatives à l'évolution de certaines dispositions réglementaires et au financement de l'accompagnement socioprofessionnel et formatif en AI » portées par l'UNAI.