Pour ouvrir droit aux compléments d'éducation spéciale, l'enfant handicapé ne doit pas nécessairement avoir un taux d'incapacité au moins égal à 80 %, contrairement à ce que nous indiquions dans notre numéro 2197, du 12 janvier 2001. Il doit notamment remplir les conditions d'octroi de l'allocation principale d'éducation spéciale, c'est-à-dire avoir un taux d'incapacité permanente au moins égal à 80 % ou compris entre 50 et 80 % s'il est placé dans un établissement d'éducation spéciale ou pris en charge par un service de soins ou de rééducation à domicile. En pratique, cependant, il s'avère que les bénéficiaires de ces compléments ont souvent un taux d'incapacité proche de 80 %.
Nos lecteurs voudront bien nous excuser et rectifier en conséquence.