Egalement attendu depuis près de deux ans, le fichier national automatisé des empreintes génétiques, institué par la loi du 17 juin 1998 sur les infractions sexuelles (1), est officiellement mis en place.
Ce fichier doit contenir, d'une part, toutes les traces génétiques relevées sur les victimes et les lieux de crimes et, d'autre part, les empreintes génétiques des personnes condamnées pour des infractions sexuelles.
(1) Voir ASH n° 2078 du 3-07-98.