Amoureux de l'Hexagone ou de l'un (e) de ses habitant (e) s, chômeurs potentiels chez eux, parfois rescapés de situations dramatiques dans leur pays d'origine, les assistants sociaux d'origine étrangère ont souvent de multiples raisons de vouloir travailler en France. Notre pays est sans doute celui de l'Union européenne (UE) qui accueille le plus de ressortissants communautaires et même d'étrangers hors UE, selon un dispositif très rigoureux. Et qui diffère selon l'origine des candidats (1).
Mais avant tout, ceux-ci doivent être déjà diplômés, la profession d'assistant de service social étant réglementée en France.
Globalement, la mobilité des assistants de service social est faible en Europe ; elle concerne essentiellement les frontaliers et plutôt les « Nordistes » (France/Belgique, Belgique/Allemagne, etc.). Avec 80 % des demandeurs qui souhaitent travailler sur notre sol, la Belgique arrive largement
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